- Personnages en quête de hauteur à Rock en Seine
- Quand tu prépares ton Rock en Seine…
- Rock en Seine : j’peux pas, j’ai piscine ?
- La planète brûle mais j’adore Robert Smith
- Rock En Seine ‘19 : extrait sec subjectif, loufoque et aléatoire
- Catastrophe ? [Rock en Seine 2019 – Jour 1]
- Catastrophe ! [Rock en Seine 2019 – Part 2]
- Dernières strophes [ROCK EN SEINE 2019 – JOUR 3]
- On fait le bilan calmement – [Rock en Seine 2019 – Part 4]
En s’remémorant chaque instant (je m’arrête là, si je continue, je risque de me faire virer par mon rédac chef) de Rock en Seine 2019 (ouf, j’ai écrit le mot « rock »).
Cette année, il fallait noter que :
- Il y a une scène en moins (la faute au rachat par AEG ?). Celle à droite en rentrant, en pente, le long du mur, vous voyez ? La casse gueule lors des éditions pluvieuses. Celle où valait mieux être bien accroché à ses bottes en caoutchouc. Qui rendait ce festival plus rock’n roll. Celle où on a chialé en 2017 en écoutant Her. Où on a failli s’endormir un dimanche soir de 2014 sur Tricky. Certes ça fait moins de kilomètres à parcourir. Mais ça fait quand même une scène en moins, donc moins de concerts. Mais bon, vu qu’on a déjà du mal à aller écouter tous les groupes qu’on avait sélectionnés lors de nos séances de révision de la prog, y compris les jours où a priori y’a que du hip hop… Et qu’il ne pleut plus pendant Rock en Seine…
- Il y a moins de zones WC, mais la plus importante est à côté de la plus petite scène. Donc si comme moi vous allez peu écouter les têtes d’affiche à l’autre bout du parc sur la Grande Scène, vous ne ferez jamais la queue. Vous avez bien lu : JA-MAIS. C’est bien la première fois de mémoire de festivalière (abstraction faite de Solidays ou je fais pipi debout. Oui oui)
Bon, j’arrête de vous parler des histoires d’avant comme si on avait cinquante ans.
Cette année, on a également noté que :
- Il y a plusieurs façons de s’approprier une énorme scène :
- en jouant aux quatre coins, façon Girl in Red
- en restant groupé au milieu, façon Cannibale
- en venant en force, façon Catastrophe, Louis Cole où Jeanne Added
- ou en ayant une scéno de malade, façon Aphex Twin. Mais il n’aurait pas été là, ça aurait fait pareil. D’ailleurs, était-il vraiment là ?
- C’est la classe de jouer en costard (cf Mini Mansions, The Murder Capital, Two Door Cinéma Club, Catastrophe) alors que tous les festivaliers sont en short, débardeur, ou torse nu même.
- Le Parc de St Cloud, c’est dépaysant. On y voit des rapaces. Et à la nuit tombée, la Petite Ourse et Cassiopée sont très clairement visibles. Alors on est loin de voir la voie lactée, je vous rassure, mais ça prolonge un peu les vacances (laissez moi rêver un peu, bordel (ça c’est mon côté rock et pour faire plaisir à mon rédac chef))
- Il y a (eu) un squat à la manufacture de Sèvres. On n’a pas tout compris sur sa localisation exacte. Ni sur le fait qu’il (ait) existe(é) véritablement. Mais comptez sur nous pour en parler encore dans 20 ans
Voilà, pour cette année, Rock en Seine c’est fini (depuis 15 jours…) mais ça recommence l’année prochaine, et peut être bien que j’y retournerai, qui sait. Enfin, ça dépendra de la prog entre 14h et 17h 🙂
Charlotte Poul