- Courant continu
- Axel Bauer et Radio Londres
- Grace Cummings : rauque and soul sister
- Cate Le Bon- Pompeii poetry
- Hooverphonic – découvrons Hidden Stories
- Les Cats on Trees ? Alie, go !
- Animal Triste : noir et chaud à la fois
- Toujours du Nouveau, toujours du Beau
- Kaléidoscope
- « Party Time » avec De Staat au Nouveau Casino
- Knuckle Head : envoyez les dark watts !
- Kid Loco a de la reprise (et c’est pas volé)
- Guerre et Paix
- Belle soirée de cueillette musicale « Zebrock », au café La Pêche de Montreuil
- BOPS parade dans la POP, avec l’album « Sounds of Parade »
- Luxe, calme et volupté, invitation au « voyage immobile » de Clara Néville
- 2500 and counting
- 11 nouveaux orgasmes de La Mathilde le 11 MARS avec « Crier la nuit » + interview
- Destroyer : un Labyrinthitis pour se perdre
- Sea Fever : à tous les coups… on gagne
- La Veuve Scarron se marie avec le rock’n’roll
- Sunday lazy Sunday
- Villa Fantôme, un ruda coup dans le coeur 2022!
- Électrons, pièges à *** ?
- Paradoxes
- Punk Finlandais après gueule de bois
- Kristin Hersh : lumière vive
- Des notes d’optimisme
- Rafale de news qui sonnent (bien)
- Sunday express post (amazing!)
- Roses fatales ? The Venomous Pinks piquent
- O’o c’est haut haut
- DE STAAT : les hollandais au volant
- Un pack de brèves
- Pink Turns Blue : Tainted… Love
- Sunday very good mix
- Arno : Opex, le dernier tour de chant
- Music minestrone
- AND ALSO THE TREES : Bone Carver (AATT)
- Hugh Cornwell : Moment Of Madness (folie dure)
- Tukan : îles (et pas vilaines)
Quel bon vent nous a apporté des nouvelles fraîches du côté de sorties musicales qui ont accroché notre attention ? Chantons et rions, la vie est belle quand on décide qu’elle doit l’être.
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Whoop ! Golden Bug nous offre son 4ème album aka « Piscolabis »
Fort enthousiasmant prince de la musique électro, Golden Bug s’entoure de guests (les reconnaissables et attachants The Limiñanas, Vega Voga -aka Narumi Herisson-, Pajaro Sunrise, Tim Glass et Funboys).
C’est intrigant, bien ficelé et mérite un big up, un coup de projecteur.
Un talent réel pour le son qui vous interpelle en un millième de seconde, la rythmique qui fait bouger, alors feu vert pour une reconnaissance sans faille.
Pourquoi on aime ? Inexplicable mais avéré !
Pluie de bitcoins pour Golden Bug.
Zboooing ! Frank Cogliano aime les synthés
Computers of The world est un album destiné à moi, à vous qui aimez les bleeps futés extraits de machines nouvelles ou anciennes. Marrant, non de se dire que l’électricité a apporté au monde cette autre fonctionnalité : créer des sons !
Ici, on fait dans le dansant-bizarre, voilà qui est digne d’écoute. Une ou deux idées innovantes par morceau -17 en tout-, rien que pour cela notre reconnaissance envers Frank est réelle.
Giiifle ! Zeal & Ardor relance son histoire
Ce fut la claque en live d’un Hellfest 2018 et on foncera les écouter au Hellfest 2022.
Un album éponyme arrive en force et je cite : « Transpirant d’une juste fureur de tous leurs pores – sans pour autant être un bordel musicale implacable – les 14 titres de cet album éponyme ont été enregistrés par Marc Obrist et Manuel Gagneux aux Hutch Sounds et mixé et masterisé par Will Putney chez Graphic Nature Audio. Toutes les chansons ont été écrites et interprétées (excepté pour les parties de la batterie) par Manuel Gagneux, un homme à la voix douce et polyglotte… »
En quelques mots, du Metal habité par une force surnaturelle, oui, surnaturelle et un poil effrayante.
Tout sauf banal. A Clisson, le 23 juin, frissons garantis.
Flash ! Elephant Stone part dans l’espace
Rishi Dhir s’est installé au Québec et fait de la musique psych pop. Voici son EP de sa signature « Elephant Stone », Le Voyage de M. Lonely dans la Lune.
En français, pleine de pêche, hommage à Montréal, voici une musique fraîche et une démarche positive que l’on aime ici souligner.
Un côté vintage 70’s qui n’est pas déplaisant. On like, tabernak !
Dance ! Rone x La Horde
La B.O. d’un court métrage saisissant de Spike Jonze où l’on aperçoit une danseuse (fantôme ? apparition ?) évoluer dans le Musée des Beaux-Arts de Marseille. Elle sera rejointe par d’autres personnages. Watch this space…
Regarder-voir-écouter-entendre. L’art de la maîtrise absolue de la suggestion sonique de notre cher Rone n’est plus à démontrer. Film ci-dessous.
Ping ! Le piano culte de Maxence Cyrin
Cadeau princier du pianiste Maxence Cyrin, un septième album : Melancholy Island (sur lequel on retrouve deux reprises étonnantes de D.A.F et Dead Can Dance).
Focus sur l’hommage à D.A.F. avec une interprétation du fatal « Der Raüber und der Prinz ». Emouvant, touchant et preuve qu’une belle mélodie transcende les styles et les époques.
Avec un orfèvre, 88 touches et un Steinway, c’est évidemment tangenter vers le mystique.
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En relisant cette chronique, je me dis que nos coups de cœur partent dans tous les sens, des styles très divers mais avec un fil rouge avéré : de l’émotion, du travail allié à du talent et de l’originalité dans les démarches repérées.
Est-ce l’une des définitions du Beau ? Sans doute…
Jérôme « Musik Freund » V.