Lundi 11 avril 2022

« Réveil tragique succède à un sommeil sans rêve » dirait Taxi Girl ; non les nouvelles ne sont pas une dystopie !

Post f****g soirée électorale de dimanche 10 avril qu’on ne commentera pas davantage, mais partagé entre dégoût, rage et fatalisme (joli cocktail, tiens).

Alors dans le RER j’écoute l’album de One Hidden Frame, des punks (genre US, tendance Bad Religion et consorts) qui s’appelle I’m not Here. Lebel Thousand Islands Records. I’m not Here, ça tombe bien moi non plus, et le 24 avril, je vote Neige !

Du punk qui chante juste et haut c’est parfait à volume maximal en ne lisant pas les journaux ce matin. Remède sonique pour rage

Le batteur a 3 mains, les riffs sont survoltés, le chant est bien agressif mais les mélodies sont travaillées et on se sent prêt à reprendre en chœur leurs hymnes qui mettraient le feu à tout stade sur cette terre. C’est du chirurgical, de la frappe de drone mais avec une charge nucléaire (bon faut que j’arrête aussi la rubrique « international », les gars !) …

Ils viennent d’un pays frontalier avec la Russie, j’ai nommé le belle Finlande que l’on devrait tous visiter un jour (moi le premier, c’est sur ma bucket list).

Merci à ces 4 gaillards qui ont déjà produit 5 albums, waow ce ne sont pas des lapins de 3 semaines et ça s’entend, voici leurs noms :

Pekka Multaharju – Lead vocals / guitar

Vesa Sinkko – Guitar/backing vocals

Emil Stenbäck – Drums

Vesa Ahonen – Bass/backing vocals

Et voilà, une chronique expresse pour se calmer un peu, rester posé et ne pas monter une barricade.

J’imagine que certains vont s’en charger d’ici peu, avec ou sans pavés.

One Hidden Frame : la 25 ème image par seconde ?

Jérôme « il nous a manqué 1 %, p**** » V.

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