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Destroyer ? Un gros coup de cœur pour son album de 2018, ken. Donc écoute sans tarder de la nouveauté (25 mars, chez Bella Union / PIAS). Ne pas se tromper en l’écrivant, voici Labyrinthitis.
Dan Bejar est un chanteur à la voix sensible, qui offre des mélodies fines (avec son complice John Collins) entourées d’orchestrations atypiques allant du complexe au très fouillé. Musique raffinée.
Un genre ? Très difficile à catégoriser (rock plaisant, indie perfectionnée avec des accents new wave, pop à accents rock et un poil électro).
Ce qui est en revanche certain est que l’écoute de cet album ne laisse pas indifférent, le charme de Destroyer opère bel et bien.
Déjà dit mais je le répète, ce nom de scène me semble décalé par rapport aux sentiments exprimés et aux ambiances produites.
Le morceau « Tintoretto it’s for you » par exemple dégage de l’énergie, est fort mais est empreint de nostalgie et la voix de Dan Bejar, là encore, demeure l’atout maître.
Labyrinthitis, morceau instrumental fait tout pour nous laisser interrogatifs et rêveurs.
Au long de l’album on oscille entre l’envie de danser, celle de regarder la mer un jour de tempête, se replonger dans l’intégrale de New Order -cf. le morceau The States-, lire les paroles et réécouter tout depuis le premier titre aka It’s In Your Heart Now, 7 minutes hors du temps.
Intrigantes sensations dans ce labyrinthe casse-tête des certitudes mais totalement visitable, public adulte et consentant.
On recommande de s’y égarer.
Jérôme «HMS Songazine » V.