MaMA Festival
Cet article est le numéro 2 sur 4 du dossier MaMA 2017

Hop hop hop, on tient le rythme ! Non, je n’ai pas la tête dans le c**.  Oui, j’ai la banane, j’ai passé la soirée en concert, à serrer des mains, à écouter du bon son et boire des bières. Oui, je dois écrire ce matin (au lieu de dormir). Oui la journée va être longue, mais j’ai la chance d’être au MaMA, alors, non on ne se plaint pas ! Et zou, on écrit !
MaMA Festival Jour 1

Au lendemain du premier jour du MaMA, voici mon report.

Le public s’est déplacé ; les queues interminables devant les salles faisant foi. Pigalle et Montmartre ont été complètement envahis par les musicophiles et musicomanes, en tout genre.

Il faut dire que dès ce premier jour, la programmation était démente ! Et grâce au Pass, on peut naviguer d’une salle à l’autre, sans problème, ce qui permet de voir un maximum d’artistes en une soirée.

J’ai pu écouter la sublime voix de Clara Luciani (qu’on a déjà chroniquée ici) au Bus Palladium…

… applaudir Eddy de Pretto, un de nos chouchous des Inouïs du Printemps de Bourges, qui a fait salle comble au Backstage By The Mill…

… découvrir Chaton, qui  » continue d’écrire des poésies  » et nous embarque dans un univers sensible et original…

… me déhancher avec Cabadzi, associés à Blier, pour leur concert digne d’un bon film, donné dans le sublime théâtre du Lycée Decour…

… et me laisser emporter par le talentueux et envoûtant Adam Naas, dans la petite salle du Carmen.

Grosse claque pour ce premier jour.

To be continued…

Anne-Laure, MaMA One

Dans le dossier :<< Le Rock In Loft, le in du off dans un big loftMama mia ! Le MaMA est là ! >>
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