Cela commence comme ça : « Dans un coin pourri, du pauvre Paris, sur une place, L’est un vieux bistrot, tenu par un gros dégueulasse… »

Cela se chante avec le grand Georges.

Cela s’appelle « Aux sportifs réunis » mais les habitués vont « Chez Walczak ». Pour entrer il faut taper au carreau, sourire et attendre que Jean-Louis soit d’assez bonne humeur pour vous ouvrir.

Cela se termine aviné, replet et les esgourdes pleines d’éclats de rire.

Cela inspira Brassens qui était amoureux de la tenancière et traita donc courageusement son mari Y. Walczak , boxeur ayant mis à terre Sugar Ray Robinson, de gros dégueulasse.

Cela sent les années 50, les murs évoquent Cerdan, Ventura (Lino), Ferrrat, Ferré, Blier (Bernard) et Bebel.

Cela sise au 75 rue Brancion

Cela se termine ainsi « Dans un coin pourri, du pauvre Paris, sur une place, une espèce de fée, d’un vieux bouge a fait, un palace.

Pato « Chez Yanek » C

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