Ecoute par hasard de quelques notes de Message In A Bottle.

Ecoute mais pas par hasard de Walking On The Moon.

Réécoute de tout l’album Reggatta de Blanc.

Réécoute de tout l’album Reggatta de Blanc.

Réécoute de tout l’album Reggatta de Blanc.

(merci Youtube) /// Mais punaise que c’est bien !

The Police Regatta de Blanc

Vous imaginez que Police était quasiment punk à son démarrage ? (avec le guitariste Henri Padovani, un corse doué qui a lâché le train juste avant l’entrée en gare du succès). Yeah.

Pour revenir à cet album, premier constat : toutes les chansons sont formidables. No filler, all killer. Et ce titre qu’on ne pige pas ? Cool.

Sting chante avec énergie et suavité, son timbre un poil nasal est simplement élégant (comment dire mieux ?), sa basse vrombit. Les paroles des chansons sont assez fines en fait ET nous font apprendre l’anglais à nous les Frenchies ! ( « washed up on the shore », « giant footsteps », « bring on the night », « Only hope can keep me together », « I could not stand another hour of daylight », « The other ones are complete bullshit », et plein d’autres expressions bien classieuses à mettre dans un exposé ou un speech pro !)

Andy Summers démontre qu’il est surdoué (arpèges, riffs, reggae, rock, mélodies), sa guitare tranche l’air et déchire à point.

Stewart Copeland est un batteur extraordinaire, il faut bien faire attention : ce type est tout seul et entendez tout ce qu’il nous envoie ? Just an amazing drummer.

Et ils étaient booooo les Police ! Blondins, minces, posant mais pas trop. Dans le créneau rock que tout le monde aime mais pas du tout ringards, extrêmes, datés : ils sont arrivés pile au moment idoine pour faire le disque qui va bien.

41 ans en 2029 et fringant l’album sans une ride, sans une rayure fait magiquement son effet, allume une nostalgie souriante, donne envie de chanter, de danser. Love to you The Police ! <3 <3 <3

Jérôme « Have we got contact ? » V.

 

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