2017 s’en va, drapée dans son concert d’attentats, de plaisanteries pas fines et de bad buzz, ivre de bruit et de fureur.

Elle nous en a mis plein la tronche, nous a frappé de sa main gauche gantée de fer et de sa main droite baguée d’acier, apporté des surprises du genre paquet qui explose à la gueule, les chevrotines sont comprises dans le prix, merci !

La Faucheuse s’est régalée, le Dieu de la Guerre Mars n’a pas chômé, le Kapital se porte bien mieux qu’avant, les élections et les religions restent des pièges à…, ça on le savait déjà. On a failli avoir Fillon, on a gagné Macron. No comment, no politics ici, mais … (non, non, tais-toi Jiminy Cricket !)

Extraballes : typhons, cyclones, inondations, volcans, glissements de terrain, montée des eaux, pollution atmosphérique, océans de plastique, OGM et pesticides autorisés à tire-larigot, dérèglements climatiques, un florilège de machines à tuer du pauvre, surtout quand il ne loge pas en 5 * et ne croque rien de bon, rien de bio.

Alors, chez Songazine, comme à Billancourt, est-on désespéré ?

Non, car on préfère Charlie (De Gaulle) à charpie et on clique sur « Never Give Up » à la place de « What the F ». Optimistes comme des conquistadors devant une mine pleine de pépites 18 carats, les Songazine team members ont la pêche et un sourire à se faire embaucher chez Signal.

Voilà Miss 2018, paire et fraîche comme au premier jour, garantie sans élections hexagonales, on y croit à cette petite !

La Reine D’Angleterre se porte bien, Marquis de Sade va sortir de nouveaux morceaux, on attend la prochaine saison de Better Call Saul, et sutout nous allons faire naître une toute nouvelle version de notre webzine aux alentours du mois de Mars.

Toujours aussi beau, encore plus fier et plus vif que jamais.

Keep in touch, watch this space amiiiigos

Yihhha disait le cowboy assis sur un taureau sauvage, juste avant qu’on ouvre la porte ;

Jérôme « two zero one eight“ V.

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