Nous avons eu la possibilité de croiser Talisco juste avant son concert au MaMA le 14 octobre dernier, et nous avons pu lui poser quelques questions.

 Tu vas sortir un nouvel album, peux-tu m’en dire un peu plus ?

L’album va sortir le 27 janvier. Ce deuxième opus est un peu différent du premier, j’avais aussi envie d’évoluer dans ma façon d’aborder la musique. Ceci dit, l’énergie reste la même, ce n’est pas un autre Talisco ! Je me livre davantage dans cet album. J’ai beaucoup voyagé, principalement aux Etats-Unis. La Californie, Los Angeles notamment, m’a beaucoup inspiré.

Qu’as-tu particulièrement aimé Los Angeles ?

C’est un tout : la lumière, la végétation, l’espace…

Quel est ton objectif avec ce nouvel album ?

Je ne sais pas si on peut parler d’objectif : je fais de la musique d’abord par passion. Je ne vise pas de changer le monde ! Si je peux juste porter un regard neuf, pourquoi pas, mais le but est surtout une création artistique.

Aujourd’hui, quel est ton rêve ?

Mon rêve est simple : que cela continue, tout naturellement.

Quel enfant tu étais ?

Quand j’étais gamin, vers 11-12 ans, je rêvais déjà de vivre de la musique, mais j’étais plutôt un enfant « normal » ; l’école et les profs ne m’intéressaient pas, mais je me suis forcé !

Principale qualité ?

Disons que je suis plutôt sincère, je ne raconte pas d’histoires.

Qu’est-ce que tu trouves dur dans ta vie d’artiste ?

Rien n’est difficile ; ce serait vraiment déplacé de ma part de dire le contraire. Allez, disons, le stress que cela peut générer : à la sortie d’un album, juste avant de rentrer en scène ou avant une tournée, mais bon, je vis mes rêves, je n’ai pas le droit de me plaindre !

Comment te sens-tu sur scène ?

Cela dépend vraiment du public, du son, de l’humeur du moment…

Sur scène en ce moment, tu joues déjà les titres de ton second album ?

Oui, environ 50/50 : pour moitié environ les titres du premier album, pour moitié ceux du second. Je vais bientôt jouer à la Cigale, cela me fait plaisir.

Comment te vois-tu dans 5 ans ?

Je n’y pense pas du tout ! Je vis dans le présent.

 

Pascale Baussant, en mode interview pour Songazine

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