Bouh les parisiens, si vous avez raté le Fnac Live Paris cette année, honte à vous !
La 7e édition du festival de musique, co-organisée par la Fnac et la Mairie de Paris, s’est déroulée les 6, 7 et 8 juillet derniers. Et c’était – comment vous dire… – c’était… wahou ! (j’en perds encore mes mots).
Oui, vous auriez dû bloquer les dates et vous précipiter dès l’annonce du line up. Oui, vous auriez dû être sur le parvis de l’Hôtel de Ville en train de danser et de faire la fête avec nous.
Vraiment, vous n’aimez plus la fête ? La bonne humeur ? Et la musique ?
Franchement !
3 jours de festival, de concerts gratuits avec une programmation hyper éclectique, des têtes d’affiche complètement dingues. Tout ça, en plein cœur de la capitale, dans un endroit magique !
Alors, quelle est votre excuse ?
Vous m’en voyez déçue de ne pas vous y avoir vus, et j’espère que vous le serez vous aussi à la lecture de ce report (gniark gniark). Quoi qu’il en soit, j’ai profité pour vous (beaucoup – trop ?).
Pendant 3 jours, près de 90 000 personnes (oui, tout ça) se sont rassemblées sur la place de l’Hôtel de Ville aux sons du festival. L’ambiance était folle, la musique bonne.
Sous un ciel bleu intense et un soleil parisien annonçant les grandes vacances (pour les veinards), nous avons applaudi une Calypso Rose électrique (quelle grande dame ! On vous en a déjà parlé ici et là), un Julien Doré survolté (wooowwww, une bête de scène !), un Benjamin Biolay poétique (toujours) ou encore une envoûtante Camille (ici).
Côté électro, nous avons vu Cassius et Møme, Irène Drésel ou encore Alltta (20Syl & Mr J.Medeiros). C’était pfiiiiouuuuu !
Côté Rock / Pop, ça déménageait avec The Horrors et Rover (Olala!)
Quant aux nouveaux talents, j’en avais déjà repéré au Printemps de Bourges et aux Francos, j’ai pris la même claque avec Fishbach, The Pirouettes, Eddy de Pretto, Aliocha et Témé Tan.
J’en passe et j’en oublie. Mais vraiment, cette édition était fantastique !
Et pour couronner le tout, quand on est estampillé « Presse / Média » et qu’on a un pass magique (THE moultipass), on peut accéder aux concerts privés, donnés à quelques privilégiés à l’intérieur de l’Hôtel de Ville.
C’est comme ça que j’ai passé une heure avec François & The Atlas Mountains à regarder les lustres refléter les lumières de la scène, bercée par la musique, et m’imaginant à une réception de l’ambassadeur, – manquait plus que les Ferrero Rocher !), souri à Julien Clerc quand je connaissais les refrains (merci Maman) et pleuré au son de la voix de Juliette Armanet (là, ici et encore là).
PS : Ah oui, aussi, j’ai bien profité de l’apéro avec toute la team Organisation / Presse / Sponsors / Artistes dans la cour très très select de la Mairie de Paris. Belles rencontres de beau monde. Merci beaucoup !
Anne-Laure, envoyée spéciale au Fnac Live, en mode VIP, olala, je côtoie des stars, je trinque avec le showbiz, c’est fou fou fou.
Et j’aime ça.
Coeur avec les doigts, les Songazous.
