Cet article est le numéro sur 4 du dossier Galerie Stardust

Une rencontre, un appel, une demande, un oui et un ami, voilà comment débute la Galerie Stardust.

Vinyle

Tout part d’une rencontre faite à Londres, Alexandre Stanisavljevic rencontre quelques années auparavant Guy White spécialiste en photographie rock. C’est un réel coup de foudre amical qui se passe entre les deux hommes.

Un jour, Alexandre reçoit un appel de Guy White, « Il m’appelle pour me dire que Masayoshi Sukita aimerait organiser une exposition à Paris. À cette époque-là, il y avait l’exposition David Bowie pour l’inauguration du Philharmonie de Paris. Et il m’a demandé si je pouvais lui trouver un endroit pour pouvoir exposer, et sans réfléchir j’ai dit oui, sans rien connaître au métier. J’en discute avec un de mes potes et il me dit c’est génial, montons une galerie ensemble et voilà, on a monté la galerie Stardust ».

La galerie Stardust fait alors ses débuts rue Notre Dame de Nazareth dans le IIè arrondissement de Paris. C’est ici que va avoir lieu la première exposition, celle de David Bowie par Masayoshi Sukita. Cette première exposition permet à Alexandre Stanisavljevic de rencontrer des photographes d’un niveau plus élevé et plus professionnel.

Trois ans plus tard, il a l’occasion de récupérer 3 vieilles boutiques au Pré-Saint-Gervais et de tout rapatrier dans ces boutiques. Mais la galerie Stardust ne s’arrête pas là. Lorsqu’une exposition débute à la galerie, Alexandre veut « la faire vivre », notamment à Aix-en-Provence et Nantes. Ce qui permet aux photographes « d’avoir un deuxième point de chute, et deux fois plus de personnes qui achètent leur travail ».

L’idée actuelle est de monter des expositions « hors les murs », trois sont en cours. David Bowie de Sarah Captain, Darc Dark Darker sur Daniel Darc de Julien Lachaussée ainsi que Sylvie Lebre.

 

Chloé Song 

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