Dans Beyrouth le soleil, les deux roues sans le casque,

L’Orient rempli de charmes, et la guerre  assoupie,

La vie reprend ses droits, et Bachar nous conduit.

Mar Khalifé charmeur, le reggae à ses basques.

 

Les femmes y sont déesses, vois leur œil charbonneux :

C’est celui d’Aphrodite, éternelle et rebelle.

Une vieille Mercedes sinue dans les ruelles,

La nuit est là, complice, ô mon Liban radieux.

 

Le barbier est habile, il te fera la coupe

D’un champion de la drague,  d’un Kojak supercool

Attesté, diplômé, et le café est chaud.

 

La musique au Balcoon, la Corniche, les rayons,

Chante Karaoké, les paroles, sa chanson.

Poésie de la ville, alchimie Ya Balad.

 

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