Printemps de Bourges

Le Printemps de Bourges continue pour un troisième jour de concerts à travers la ville.

Entre stands de bouffe, artisanat, salles de concerts et scène ouvertes, bisettes – non masquées – aux copains, cette nouvelle journée a encore été très riche…

Printemps de Bourges

(c) Matthieu Foucher

Le planning s’intensifie, cette nouvelle journée s’annonce encore chargée… Je vous emmène avec moi dans ce Vis ma vie de journaliste au PDB.

Les premiers concerts des iNouïs démarrent vers midi. Les artistes émergents se partagent les scènes du 22 pour tenter de décrocher le titre iNouï, le tremplin musical du PDB. C’est souvent l’occasion de découvrir de nouvelles pépites, une bière à la main, du son dans les oreilles, le sourire aux lèvres.

Ensuite, vers 15h/15h30, on se retrouve entre journalistes à l’Auditorium pour les conférences de presse. Aujourd’hui, c’était l’interview d’IAM (toute ma jeunessssse !) et de Clara Luciani, les artistes à l’affiche du jour. Une petite question au micro, quelques anecdotes et deux trois photos… C’est toujours un moment privilégié avec les artistes.

IAM

Puis, vers 18h, on court à La Prairie, l’espace réservé aux pros, pour un pot avec les artistes des différentes régions. Entre petits-fours et coupettes, c’est surtout l’occasion de se retrouver pour discuter et de rencontrer de nouvelles personnes de la musique.

Vite, il est déjà 19h : Cats on trees et sa pop poétique ouvre la soirée du W pour ensuite laisser place à Eddy de Pretto, que l’on ne présente plus… lui-même lauréat des iNouïs 2017. Le public reprend les chansons, l’ambiance est folle.

Il est déjà 21h… Je cours au Théâtre Jacques Coeur. Impossible de rater Meskerem Mees et sa voix suave. C’est d’une beauté absolue. Je crois déjà qu’elle sera mon coup de coeur de cette édition.

J’écourte le concert, j’ai rendez-vous avec Hania Rani à la Maison de la Culture de Bourges pour un moment plus calme. La toute jeune polonaise nous envoûte avec des mélodies mêlant piano à l’électro.

21h40 : Je retourne au W pour aller applaudir la sublime Clara Luciani et sa grenade. Lumineuse, même solaire, elle diffuse ses ondes musicales à travers la salle. Son sacre aux Victoires de la musique est largement mérité.

 

 

 

De retour à Maison de la Culture, je me pose (ou pause) enfin dans un fauteuil moelleux pour voyager avec Sofiane Pamart. Des frissons. C’est simple, j’ai eu des frissons tout le long de son concert. Nostalgie, rêve, mélancolie, espoir, je crois que je suis passée par toutes les émotions en écoutant ses morceaux.

Et pour finir, je retrouve IAM qui met le feu au W. On a dansé le mia, chemise ouverte, chaîne en or qui brille.

Anne-Laure, tout feu pas tout flemme

 

 

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