francofolies
Cet article est le numéro 4 sur 6 du dossier Francofolies 2023

Et hop, les journées aux Francofolies de La Rochelle s’enchaînent mais ne se ressemblent pas. C’est déjà le quatrième jour ! 

Focus sur Martin Luminet – déjà chouchou. Salle bleue à La Coursive, 21h.

Martin, que l’on suit depuis quelques temps maintenant, ouvre la soirée, avant Albin de la Simone.

Sur une scène intimiste, il évolue dans un univers singulier, prenant au coeur. Les textes sont forts, les émotions à vif : il parle d’amour, d’amour propre, de confiance, de peurs, de doutes, de réflexions en tout genre. On a les tripes prises au plus profond. Cet écorché au grand coeur hurle les sentiments, la vie, mais chante surtout l’amour et l’affirme haut et fort, puissance dix. Viscéral.

Martin, c’est à écouter de toute urgence, comme une étreinte magique capable de reboucher les fissures et les cicatrices de la vie, pour prendre « amour à perpétuité ».

— On file ensuite aux Nuits Collectives à La Sirène avec la soirée électro.

La DJ Di Bosco chauffe la grande scène avec ses beats électro house parfois disco. Les refrains sont entêtants et donnent forcément envie de danser.

Puis, c’est au tour Yuksek d’enflammer la foule : avec ses tubes, il fait danser le public qui reprend les refrains en choeur, une bière à la main, le sourire jusqu’aux oreilles.

Enfin, Mezerg entre en scène. Le multi instrumentaliste s’en donne à coeur joie pour son show. Il enchaîne les sons sur ses claviers et joue avec son thérémine pour faire monter la puissance. Un plaisir à regarder et à écouter !

Il n’y a pas à dire, c’est encore une bien belle soirée francofollesque qui s’achève.

Anne-Laure, toujours francoolisée

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