escobar
Cet article est le numéro 5 sur 6 du dossier Beast Records

On vous a parlé des « one-man bands », maintenant lisez cette page du chapitre « des groupes où deux personnes déterminées suffisent à mettre le feu sur scène et dans votre platine ».

Ils répondent au doux nom d’Escobar et sont puissamment rock and roll, croyez-nous.

Le nounours qui illustre la couverture de leur dernier album n’est pas là pour vous faire des câlins, on se dépêche, on se lève et on court, les amis. Grrrr.

D’ailleurs les 12 chansons font toutes moins de trois minutes. Hit and run, le format c’est la claque dans la tronche, les accords qui s’enchaînent et la cavalcade côté rythmes. On adore et on claque dans ses petits doigts, un grand sourire aux lèvres.

Ras-le bol des remixes qui durent des plombes, des intros à rallonge et des solis qui n’en finissent pas ? Ce duo explosif est fait pour vous. Les préliminaires, un autre soir mon amour, on va au tatapoum direct, la Saint-Valentin c’était la semaine dernière ; écoute : ce soir on a… Escobar !

La voix est top, juste et entraînante, rappelant un peu celle des Dogs, c’est accrocheur et empreint de cette matière qu’aucun pont d’or ne pourra jamais acheter.

Ça s’appelle la classe, tout simplement.

Tachycardes s’abstenir, mais pour tous les autres, recommandation thérapeutique immédiate et enthousiaste du docteur (…Feelgood, le docteur, hein ?)

Jérôme «Wild Runner » V.

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