« J’ai vu » le temps se défiler, des familles se dés-imbriquer, des cœurs s’arrêter de bouger, des élans gâchés, des moments ratés, des gens blasés rester sur un canapé, des gens déchirés se jeter du pont de l’Humanité, des gens arrêter de se parler pour des histoires de fierté, des gens ne plus se parler à force de ne plus s’écouter, des gens se fâcher pour pouvoir se cacher.

« Ça n’en vaut pas la peine, il faudra s’y faire ».

« J’ai vu » le temps se défiler, des familles très impliquées, des cœurs s’arrêter de bouger, des élans gâchés, des moments ratés, des gens qui ont pourtant essayé, des gens bouleversés de s’être rencontrés, des gens fâchés qui ont pu s’exprimer parce qu’ils avaient lâché leur fierté, des gens animés par l’envie de vouloir partager, des gens secoués à l’idée d’avoir pu être acceptés.

Angèle pose un air lunaire sur la voix de son frère Roméo qui épouse des questions sur la loi des relations. C’est la Trinité du nom du père, du fils et du Saint Esprit; autour de la mère, de la sœur et des peines de cœur.
Roméo et Angèle chantent en chœur: voix de la terre et voix du ciel sur une instru électro primaire.
C’est l’appel de Bruxelles.

Roméo Elvis: http://www.deezer.com/fr/album/15531658

Angèle: Bruxelles.

Augustin.

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