C’est simple et direct. Faut pas chercher midi à quatorze heures.

L’écoute des morceaux de l’album « III » des deux électroniciens-producteurs Lindstrøm & Prins Thomas, qui vient après le … « II » (avec sortie le 20 novembre 2020 – Label : Smalltown Supersound) est agréable, charmante, dépaysante.

Fermez les yeux, vous vous rerelaxez, oubliez l’épidédémie, cascastex le cascaskouï, le kakarabakh, le téterrorisme, allaallawaquebarre, dodonald T, l’autototune, les zinzinpôts, zoomzoom et teamteams, tout ce qui se répète en une boucle interminable depuis des mois.

Douces boucles, progression lente, riffs entêtants voilà six longues plages de sable fin (entre 6 et 8 minutes), moi je vous suggère de travailler en mode créatif avec cette musique ou de faire une sieste revigorante (c’est vous qui voyez !). Pourquoi chercher à écrire, décrire, expliquer, justifier ?

Tiens ! J’ai lu des articles sur Pitchfork pour m’amuser et je n’ai rien compris.

Lisez cet article par exemple et dites-moi ?

Le rock critic doit-il se faire plaisir ou passer un message compréhensible par son lecteur ? (bon, OK, OK, moi aussi je concède que j’ai déjà rédigé des posts tirés par les cheveux !). La réponse doit être claire.

Enfin, je vous avoue que la photo des deux bonshommes m’a bien inspiré pour écrire ce post en fait. Ils dégagent de la sympathie, de la complicité. On aurait bien envie d’aller boire un coup avec eux.

C’est simple et direct.

Jérôme «j’ai envie de voir des gens, pas des écrans » V. 

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