Nous avions été séduits par le projet « InBach » d’Arandel, paru début 2020.

Voir post  ici.

Nous voici au pied d’InBach vol. 2.

Le musicien revient pour une fournée supplémentaire de « revisites » de pièces du grrrrrand compositeur adulé, admiré, respecté. Je ne vais pas faire le kéké et donc avouer que je suis bel et bien ignorantus, béotien, barbare sans bagage en ce domaine classiquement rangé.

Néanmoins, nous allons remercier Arandel à double titre en ces lignes.

Premièrement, pour nous apporter ces morceaux fort jolis, instrumentaux et vocaux. Fins arrangements, douces voix, et j’imagine respect des compositions du Maître. Les puristes sont-ils ravis ou choqués ?

Deuxièmement, pour donner envie aux non-sachants de se renseigner et d’aller écouter les originales versions (sûrement multi-interprétées par des virtuoses).

N’est-ce pas une superbe idée de faire cohabiter les siècles et les styles, les machines et les quatuors à cordes ?

A quand alors Rone s’attaque à Mozart, Secret Of Elements à Beethoven ou Cubenx remixe Chopin ?

L’été est là, les concerts revivent.

Si vous êtes parisien ou passez par Lyon, courez donc aux Days Off à Paris le 9 juillet et aux Nuits de Fourvière le 11 juillet prochain, pour lesquelles Arandel sera accompagné d’invités tels que Barbara Carlotti, Emmanuelle Parrenin, Julien Gasc, le quatuor à cordes Emana. (Et Ben Shemie pour la date à Paris).

Bach in the night ! (non, ça c’est Dr Feelgood), enfin bref de bons moments en perspective, que la divine machine à coudre -désormais électronique- berce vos soirées…

Jérôme « clavier azerty bien tempéré » V.

 

 

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