Songazine a 10 ans !

EDITO

Punaise, dix ans !

Septembre 2013 : Songazine devait s’appeler 1789 Songs mais les étudiants de l’école HETIC qui développaient la V1 du site m’ont dit « Monsieur, dans les recherches Google, « 1789 » sort toujours en premier avec la date de la Révolution Française ! ». Ils avaient raison ;

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SONGAZINE V1 , c’était joyeux !

Alors pas de révolution mais un mot-valise et un petit site qui démarre avec un look rigolo et coloré. Au début, j’écris -seul- des textes en français ET en anglais (mais oui, c’était une suée de traduction 100% sans CHAT-GPT) sur des chansons que j’aime.

Un jour, je reçois une sollicitation d’une agence de RP pour un disque à chroniquer, avec un CD offert. Oh ? Ecrivons alors, puisque c’’est beau. Retour, félicitations et messages agréables : c’est cool le journalisme laudatif !

Puis d’autres encore suivirent, tout a démarré très vite, puis des invitations à des concerts, encore des CD, des liens, des invitations, des sollicitations, encore des CD (parfois 5 par jour !) …

C’est le démarrage d’une chaîne quasi atomique qui plafonne maintenant à une centaine de mails par jour et j’ai demandé à ne plus recevoir de CD désormais. Respect au passage aux agences de RP, maisons de disques, freelances et labels, je vous remercie de m’abreuver de nouveautés, même si nous ne pouvons pas tout lire.

Dix ans de chroniques (3500 posts ?), centaines d’interviews, 2 versions du site, un Blogspot en bonus, des expos photos, des soirées au Supersonic, dans des bars privatisés, des hors-série papier, une asso (dissoute aujourd’hui), on en a fait des choses sous le label Songazine !

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Des rencontres formidables, des collègues journalistes, le fait d’avoir gagné une place au soleil,  le privilège d’aller aux festivals et concerts en mode VIP, tout cela en restant bénévole : fierté d’avoir construit cette (petite) œuvre faite de 0 et de 1 partagés grâce au world wide web 😉

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Autre chose ? Oui ! Moult chroniqueurs ont fait une partie du voyage avec moi tout au long de ces dix ans ; certains de façon éclair, se rendant compte qu’écrire un post, une critique ce n’est pas anodin, mais d’autres de façon longue, fidèle ou encore intermittente. Des engagés, des sincères, des experts, des opportunistes, et même quelques égarés, pour environ 40 personnalités fort différentes.

Et maintenant ?

On ne lâche rien, on boit quelques verres et on continue comme Keith et Mick, jusqu’à plus soif (NB : dans le cas du premier cité, c’est un oxymore).

I know, it’s only rock and roll, but I like it.

Jérôme « rédac chef 4ever » V.

PS : interviews sympas, je me souviens de JJ Burnel, Madness, Salif Keita, Arno, Sidilarsen, Bombino, Brisa Roché, Orchestral Manœuvres, Slowdive, Alan Stivell, Jeanne Added, The Regrettes, Parlor Snakes, Popa Chubby, Bror Gunnar Jansson, le fils de Bruce Dickinson à qui je n’ai pas parlé de son papa, Axel Bauer, Judith Owen, Lulu Van Trapp, Elysian Fields, Eiffel, Dalle Béton, Newdad, Luke ou Airbourne (et j’en oublie !)

Dans le dossier :

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