Contre la morosité ambiante

(Pix : Cheap Trick, by Hirez, courtesy of their PR agency)

Aujourd’hui, réjouissons-nous !

De quoi, mais oui de quoi, tu veux nous le dire toi, hein ? me direz-vous assez énervés, voire dépités ou carrément avec le moral dans les abysses des Philippines…

Hep hep hep, de fort sympathiques et agréables nouveautés musicales que vous allez ci-après découvrir et qui vous permettront d’oublier, en mettant le son bien bien fort.

La différence entre nous et les autruches, c’est que lorsque l’on se met la tête dans le sable, hey, on n’entend rien !

Suivez nous, c’est parti mon kiki.

Cheap Trick : album #21

La vie peut être faite de plaisirs simples. L’album de Cheap Trick, All Washed Up est cool, plein de mélodies « catchy », de riffs de guitare habiles et de chansons agréables, pour qui aime le pop rock qui glisse tout seul. Cela a été dit moult fois, des accents à la Fab four se glissent ici et là : nostalgie quand tu nous tiens !

En concert, ces vieux pirates doivent assurer. Il n’y a pas de mal à se faire du bien et écouter cet album en mode sourire aux lèvres, relax.

Pur et dur et sûr

Le blues, le vrai, le beau : une musique toujours pareille et toujours différente. Reconnaissance et admiration pour Eric Bibb qui fait vivre la tradition avec amour, douceur et virtuosité. Guitare simple, harmonica, minimalisme et belles intentions sincères. L’album « One Mississipi » ravira les amateurs du genre fondateur de la musique moderne. Et haw haw haw , ceci pourrait vous donner une furieuse envie de prendre un billet pour les USA et aller vous plonger dans les clubs all night long.

Mais, mais quid de leur chef orange et blond, adepte des parties fines, des droits de douane et totalement perdu pour la raison ?

TKT, il n’écoute PAS Eric Bibb !

Dewey et la loi de Murphy

Un clip d’autodérision où les gaffes s’accumulent pour Dewey et la chanson Jinx, par ailleurs inspirée en genre shoegaze aérien qui démontre une very british influence pour ces sympathiques parisiens (non, ceci n’est PAS un oxymore !).

Sam Sauvage se prend une veste

Notre frenchy préféré du moment propose avec Ne T’en Fais Pas Pour Elle, une bonne description des amours provisoires et dérisoires du temps actuel (et du temps jadis).

Toujours frais et pop Sam Sauvage sera-t-il toujours au niveau ++ avec son futur album ? A suivre de près !

Suédois post punk

On l’a dit ici 100 fois, le site SIDE LINE est une infinie mine d’or pour la musique électronique, dark, indie, new wave et j’en passe.

Voici un joli morceau pour qui aime Robert Smith : c’est Blind Side par Siluett.

On recommande et on se dit « where is Uppsala ? » puis on regarde sur la carte (car on est consciencieux, aussi !)

Montagne de l’Atlas

François and the Atlas Mountains nous surprend avec une dansante track, Briller dans la nuit, fabriqué avec Emile d’UTO (groupe atypique qu’on aime aussi !), et le clip expose la transformation d’un pompiste vers des horizons nouveaux et d’autres essences.

Trois fois cinq égale quinze

Jane Weaver est une remarquable chanteuse et smart songwriter qui mérite votre écoute. Voici l’anniversaire des 15 ans et la re-visite de « The Fallen By Watch Bird » ainsi qu’une tournée… au Royaume Uni. Encore une fois, je mets un genou à terre face aux sujets créatifs musicaux de Charles III. Trop forts. (bon au rugby, c’est pas pareil, ref le genou !!)

Ne faites pas la tête des mauvais jours en découvrant le bombardement médiatique de stars féminines au médiocre talent que les médias encensent en boucle via des « copié-collé » paresseux. Faites plutôt un tour chez Jane Weaver, creusez un peu et découvrez de la psych pop différente et de belle facture !

Sur le dancefloor, énergisé

Allez levez les bras en l’air, finissez votre Gin Tonic (oui, je sais je suis un #boomer…) mais c’est bien tentant de s’agiter sur God In You que Tinlicker déclenche avec force machines et la voix de Hero.

Allez, allez on ne lâche pas l’affaire et on se bouge !

Sur le dancefloor, halluciné

Un titre que je verrai bien être passé à 5 heures du matin en fin de nuit blanche stroboscopique, danse épuisée et alcools plus ou moins forts (NB je ne recommande pas l’usage de stupéfiants nocifs qui ruinent votre santé et surtout enrichissent les méchants trafiquants… car pas de conso, pas de narcos !), bref c’est Scratch Massive x Zamilska et le titre EBM « Resurrection », qui vous rentre méchamment dans la tête. En live cela doit résonner dans le diaphragme !

Après vous pouvez aller vous coucher… ou pas !

Jérôme « toujours content, exactement comme son toutou » V.

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