Dimanche 25 juin 2017. 17h30. La conférence de presse, bilan des Solidays, démarre.

Luc Barruet, le directeur-fondateur des Solidays, prend la parole.

L’heure est à la déception, même si les organisateurs veulent voir le verre à moitié plein.

Emmanuel Macron, qui était espéré, n’est finalement pas venu – même si sa conseillère au développement est passée.

François Hollande s’est déplacé, a passé 3 heures sur place, a rencontré des bénévoles, des militants africains, a visité l’exposition Sex in the City.

La fréquentation est en baisse (169 000 billets vendus, contre plus de 200 000 l’an dernier).

La mobilisation pour l’aide publique au développement a été forte, et le Printemps Solidaire nous donne rendez-vous dimanche 17 septembre sur la place de la Concorde.

Au-delà des nombreux concerts, la prise de parole des militants progresse d’année en année. Le Forum monte en gamme et est désormais attendu par les festivaliers (Jean-Christophe Ruffin, l’équipe du film A Voix Haute étaient par exemple présents cette année aux Solidays et la salle affichait complet pour leurs conférences).

Maïtena Biraben, marraine de l’association Solidarité Sida, arrive et prend la parole à son tour. « Ce n’est pas un festival comme les autres. On est tourné vers les autres, on ne se regarde pas le nombril. C’est une chance et une fierté d’avoir ce festival. Keep Going ! »

Pascale Baussant, pour Songazine

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