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- Brandt Brauer Frick are formidable musicians
- Du talent à profusion
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- Résister, exister, persister
- Candy Coffins : confiserie pas
- Trois perles et découvertes anti-stress, anti-inflation
- FREEDOM FRY : « JE T’AIME PAS, JE T’AIME » EH BIEN NOUS AUSSI !
- Dimanche, avant la rentrée
(Walter Astral, en photo)
Votre panier de la ménagère s’amenuise chaque jour ?
La viande et le poisson sont au prix du caviar ?
Vos radiateurs sont réglés à 18,5 degrés ?
Un billet SNCF frôle le prix d’un mois de loyer ?
Vous allez devoir cotiser un gros paquet de trimestres pour toucher une retraite amoindrie ?
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Halte à la morosité et pas de panique, il nous reste la musique, qui permet de se vautrer dans le luxe, le confort et les excès sensoriels… à peu de frais !
A ce propos, Songazine vous propose trois expériences cinq étoiles, niveau premium, carré or, classe affaires et accessible à tous.
Comley Pond : des classiques modernes
Belle facture, mélodies accrocheuses avec cocktail de violoncelle et guitares pour une ambiance à la fois rock et fort boisée. Un trio de musiciens expérimentés nous offrent un son dans le coup, quasi post-punk mais apaisé, avec de la maestria sonique en couches superposées.
L’alchimie fonctionne très bien entre la boîte à rythmes, la six-cordes et le violoncelle. C’est subtil et équilibré comme un Saint-Emilion sur une belle assiette de cèpes bien cuisinés (bon ne rêvez pas trop, quand même).
Recommandé pour écouter chez soi, tranquille et détendu avec son chat ou son chien sur les genoux (avec le radiateur à 18,5 degrés il faut bien trouver des idées !)
Sortie le 22 février, en plus vous saurez avant les autres, fussent-ils imposables dans les tranches supérieures et conseillés par des fiscalistes pour payer deux fois moins que vous !
Walter Astral : musique panoramix et un peu magix
Alors que le dernier Astérix semble être plus proche du jus de navet que du vin de palme (d’or), voici les 2 druides de Walter Astral.
Vous remarquerez l’habileté de la transition…
Vus par hasard dans un concert au festival de BD d’Angoulême, je témoigne que ce duo chevelu et sympathique fait de la musique très réussie : électro douce mais entêtante, dansante et agréable, qui monte et descend avec élégance, avec des échos de jolie guitare espagnole et de cordes douces ou un poil énervées.
Mélange très opiacé, leur potion magique psychédélique fait plus planer que donner des envies de baffes pour les romains. C’est 100% légal, mais ne conduisez pas en écoutant !
Cool, cool, cool, on vous dit.
Fermez les yeux, vous n’êtes plus dans la queue à Pôle Emploi mais à Goa et la fête va durer 72 heures. Et en plus vous êtes sur la guest-list dans la colonne VIP…
The Notwist en concert comme si vous y étiez
Vertigo Days, dernier album de ce groupe allemand de référence en matière de pop électro stylée fut joué de façon spéciale et unique en cette occasion.
Du bon et de l’original . Merci Morr Music.
Songazine vous emmène au concert, au premier rang, pour rien !
FYI : si vous projetez d’aller voir M*donna en live dans un stade et en playback (à défaut d’un « spécial silicone » du Musée Grévin ?) dans quelques mois, prévoyez un emprunt sur 10 ans.
Cependant, n’hésitez pas à dépenser quelques euros en goodies ou gentille participation pour The Notwist, faut bien être solidaires maintenant, non ?
C’était donc notre sélection, plus de musique pour davantage de joie de vivre !
Jérôme « business class for cheap ticket » V.