Once est le titre d’un super album (Talitres, sortie le 30 avril) d’une association de bienfaiteurs nommés Maxwell Farrington et le Super Homard.

Rien que pour leur blaze ils méritent votre attention les amis.

Qui sont ces deux orfèvres soniques ?

Le premier (Maxwell) vient d’Australie, habite en Bretagne. Il a une voix à faire fondre Miss Antarctique et rendre jaloux les fils de Sinatra ou de tous les crooners que cette planète porte sur son dos. Rien de moins.

Le second se nomme Christophe Vaillant (chouette nom de famille 😉) et possède des doigts, une oreille et un goût en or 180 carats. Appelons-le Maestro !

Leur association produit cet OVNI de 12 titres onctueux, élégants et superbement produits. Dès la première chanson, We, Us The Pharaohs (tout un programme), nous sommes séduits ! Si vous cherchez la B.O. pour envoûter une princesse (ou un prince), en ayant allumé 88 candélabres, sorti un saladier XXL de caviar et bordé de glaçons 2 magnums d’un champagne rare, voilà ce qu’il vous faut !

Accessoirement pour le trajet Nanterre-Ville / La Défense sous les néons à 7 heures 02 cela sera aussi utile pour vous imaginer dans l’Orient Express en First Class. On fait comme on peut.

Oui, car ces chansons sont nimbées d’arrangements de luxe, ourlées d’orchestrations raffinées et sentent bon le cuir frais, le cèdre sauvage et la peinture fraîche de l’entrée d’un palais en Toscane. (Je viens d’écrire n’importe quoi, là, mais c’est joli. NDLR). Gentlemen, ils ont même invité une fort jolie voix féminine (Evelyn Ida Morris) pour un duo enchanteur, Big Ben.

Bon, à court de métaphores, d’images et de comparaisons en tout genre, je voudrais simplement vous dire que tout ça, tout ça c’est vraiment top, très bien, super chouette. De la balle, in, chic, on like.

Ce disque devrait être diffusé dans tous les foyers de notre contrée, voire remboursé par l’assurance maladie, à écouter en lieu et place des sinistres bulletins d’actualité. C’est mon opinion et je la défends, assuré que vous en conviendrez, sans atermoiement, ni aucune amertume potentielle.

Jérôme « love lobster » V.

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