Hors des sentiers battus, du mainstream et de la pression du plus grand succès made in budget Marketing, Songazine est fier de vous proposer semaine après semaine depuis huit ans des artistes singuliers et différents.
Ici, pas d’Angele, ni d’Adèle, ni de Billy E., ni d’Ed le rouquin, de Boobo, de voix autotunées et encore moins de morceaux matraqués sur des radios périphériques en mal de rotations effrénées ou de ces fameux canaux de streaming bien radins question droits d’auteur.
Ici, des inconnus, des isolés, des débutants, des rois de la niche pas trop chiens, des chanteurs cultes et des groupes un peu maudits de l’audimat.
Mais qu’importe, Songazine garde le front haut et les épaules solides : nous sommes indépendants, pas très connus mais -un peu- estimés.
Liberté éditoriale va de pair avec relative confidentialité ?
Gardons cette ligne, elle en vaut la peine.
Alors de quoi vais-je vous parler ce jour ?
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Deux clips en mode électro-beaux
Moi j’aime la musique électronique au sens large et surtout quand on sent une âme derrière les machines !
Combo ici : on avait repéré VAPA (très bel EP « Mental ») et on découvre E-Riser avec le morceau « Corentin Crew » assez touchant en avant-première d’un album à venir aka Electronica Cinematic. A suivre !
Simple, efficace, électrique
Deux minutes vingt-six secondes qui tressautent comme un bougre mal réveillé qui aurait mis ses doigts dans un grille-pain, les Sweeping Promises (des Américains post-punk) qui nous envoient le single frétillant Pain Without A Touch. C’est bon comme un shot mexicain avec du citron vert. Vous imaginez ça à une heure de grande écoute entre une pub pour un opérateur téléphonique et une promo de Noël avec des guirlandes baveuses ?
Un Suédois pas en kit
Bror Gunnar Jansson fait partie des blues men atypiques que nous suivons régulièrement en ces colonnes. Son nouvel album, Faceless Evil, Nameless Evil suinte d’ambiances tendues et moites comme il sait les distiller. Il alterne morceaux longs, branchés sur les volts et la sueur, et interludes à cordes. Du grand art de la six-cordes et de l’expression d’atmosphères qui vous embarquent. Parfois lancinants, parfois entraînants, les tempos sont puissants.
A ne pas rater en concert non plus.
Bror 4ever, c’est un grand.
Si tu ne viens pas au Hellfest, le Hellfest viendra à toi ! »
Pour le plaisir, on vous parle de cette tournée de mise en appétit de ce festival adoré et mythique. On ira à Cliiiisssooon, indeed.
21 dates pour 21 soirées uniques dans tout l’Hexagone en compagnie des patrons du Punk français, Tagada Jones et des Québécois boostés au Hardcore de Get The Shot.
Mais aussi animations, air guitar, surprises, rencontre avec l’équipe, merchandising, voilà de quoi patienter et attendre le mois de juin pour une édition exceptionnelle !
Que du beau, que du bon voyez-vous dans notre ch’ti Webzine indé, rien qui ne soit authentique, bio, électrifié.
Ne rien lâcher, finalement c’est assez simple.
Jérôme « I love rock and roll » V.