Il règne un froid hideux et durable sur notre capitale, et je renonce ici à lister la liste des news déprimantes qui cascadent avec férocité dans tous les médias !
Mais, joie du jour, Rock En Seine annonce sa première rafale de noms. Goodies ! Eclectisme et rock and roll. Cette année le festival parisien ouvre le bal par une première soirée le 23 août avant de nous combler, le weekend des 25, 26 et 27 du mois le plus chaud depuis… (ooops ne pas retomber dans les anxio-éco-news !). Qu’avons-nous déjà noté, côté Songazine ?
Sachant que, soyons honnête, il y aura beaucoup d’autres tentations et découvertes qui pimenteront notre emploi du temps ! C’est aussi ça le sel de Rock En Seine : aller écouter ceux dont les noms sont écrits assez petit sur l’affiche.
Nous le savons tous, le principe de réalité d’un festivalier est : 15 groupes cochés sur l’agenda avant, 7 concerts et demi vus au final dont 3 et un quart qui n’étaient pas prévus (mais n’oublions pas le cashless, les bières, les burgers, les kebabs, les potes qu’on met vingt minutes à retrouver, des glaces, mal aux pieds, des glaces, encore deux bières, des glaces, les pauses, les potes perdus de vue et rencontrés par hasard, la sieste express discrète dans un coin herbeux et ne pas omettre pour les invités presse les interviews bien sympathiques !).
Me font saliver :
Fever Ray et Bertrand Belin le vendredi.
The Chemical Brothers le samedi. Roooooo !
The Strokes, Foals et les mimis Wet Leg le dimanche, on a séance de chaise longue ?
Bref, la température polaire, on te dit m***, Poutine va te **** chez les @@@, l’inflation prout dans ta g$$$ et ô sinistre Bornée Renuisance, ben on n’a pas voté pour toi et on ne votera jamais pour toi, et toi là et toi qui braille non plus ! La musique nous console, plus que jamais, nous aide à vivre et la perspective des festivals d’été ensoleille ma journée !
Bise et hug, see you Rock En Seine !
Jérôme « hey boy, hey girl » V.