Prenez une jolie ville du Berry – à savoir Bourges, un festival renommé – le Printemps de Bourges et une énorme salle – le W. Le premier jour, ajoutez-y Gaëtan Roussel et ses musiciens, puis Dutronc père et fils. Vous obtiendrez un beau lancement de cette 46e édition du Printemps de Bourges.
(c) Mathieu Foucher
Hier soir, pour ce premier jour du Printemps de Bourges, la foule s’était déplacée au chapiteau du W. Au menu : de la nostalgie et des chansons mythiques à reprendre en choeur. Coup d’oeil sur ce retour en arrière.
Avec Gaëtan Roussel, on retourne juste avant les années 2000. Pour les soirées parisiennes… avec Léa… [en acceptant] par erreur [son] invitation… Et pour cause, pour sa nouvelle tournée, il enchaine anciens tubes de Louise Attaque et nouvelles compositions. Des textes toujours aussi poétiques et des mélodies entrainantes que l’on ne peut que chanter très fort, le sourire aux lèvres et la malice dans les yeux.
Puis, on repart encore un peu plus en arrière, dans les années 60-70 avec Dutronc & Dutronc.
Dutronc père et fils reprennent à deux les cultissimes chansons de Dutronc père, de Il est cinq heures, Paris s’éveille en passant par Fais pas ci, fait pas ça ou On nous cache tout, on nous dit rien ou encore par J’aime les filles, mais aussi celles de Dutronc fils, qui [n’aime] plus Paris Comme un manouche sans guitare.
Une belle tournée qui s’annonce dans toute la France pour ces monstres sacrés de la scène française.
Anne-Laure, concerts & PDB forever
