Nouveau pour Songazine : évoquer le Mondial du Tatouage 2016, qui se tiendra à La Grande Halle de la Villette les 4, 5 et 6 mars prochain.
Le rock and roll et le tatouage : c’est une histoire d’amour réciproque, voilà une évidence.
On ne compte plus les fans qui ont fait dessiner une ou plusieurs de leurs idoles sur leur peau. On ne rigole pas avec l’adoration qui fait ses preuves dans ce domaine. Tenez, rien qu’en portraits de Lemmy ou de Bowie sur des épaules effondrées, la profession a dû (hélas) avoir récemment un surcroît de boulot !
Forever young, on l’affirme ainsi, les plus mordus le prouvent et assumeront jusqu’au dernier jour leur folle jeunesse ; nous on dit bravo, surtout si l’Histoire prouve que votre chanteur préféré y restera longtemps inscrit.
La musique, comme le tatouage est à la fois fugace et durable.
Fugace comme les morceaux qui s’arrêtent, comme la durée de vie de l’œuvre dessinée sur un être mortel.
Durable car inaltérable dans sa forme concrète, et qui ne change guère année après année.
Tout cela est humain, très humain : c’est de l’art. Art pratiqué avec maestria par les pointures artistiques que vous retrouverez dans ce Mondial, voir liste ici
Et pour faire la fête, nous aurons la chance de pouvoir écouter quelques bons groupes. Programme sonique, voir là (avec par exemple les valeureux Sticky Boys que nous aimons fort !)
Bref, à voir, à entendre et qui sait si cela ne nous donnera pas quelques idées, hein ? À suivre !
Jérôme « Rose Tattoo fan » V.
