Il faut saluer tous ceux qui se lancent dans un groupe, l’enregistrement d’un album, la préparation et l’exécution de concerts ; ils sont légion, c’est à la fois relativement facile en 2020 et hyper complexe, depuis… 1955.
En revanche, produire de belles musiques, assurer de chouettes prestations scéniques, hmmm, ce n’est pas donné à 100% des prétendants, alors quand on est rock critic, abreuvé de sollicitations, il faut faire des choix !
Je vote aujourd’hui pour le duo THE WASH, interviewé par téléphone. Pourquoi donc ? 6 arguments pour un CQFD souriant.
Argument numéro 1 : j’ai écouté leur album Just Enough Pleasure To Remember et j’ai aimé, illico ! Musique pop rock indie moderne et plutôt joyeuse, fraîche, qui donne le sourire. C’est quand même le plus important, non ?
Argument numéro 2 : le duo composé du chanteur-claviériste David Quattrini (Massachusetts, USA) et du guitariste Jérôme Plasseraud (Versailles, France) est plein d’envie, de passion, d’ambition de nous faire partager leurs œuvres.
Argument numéro 3 : The Wash ne néglige rien ; Faire appel pour leur mixage au producteur anglais Dave Bascombe, (Depeche Mode, Tears For Fears, Peter Gabriel, Human League, ABC, Erasure, Goldfrapp, Royksopp,…) c’est waow.
Argument numéro 4 : Joli artwork pour l’album, œuvre du couple créatif ZEUGL. Pas de hasard, on trouve ici une jolie patte. Ce motif est inspiré de la technique graphique et esthétique japonaise des Suminagashi (« encres flottantes »). On en apprend chaque jour !
Argument numéro 5 : Des clips vidéos que l’on regarde, où l’on voit encore des efforts de recherche et une démarche personnelle.
Argument numéro 6 : C’est de l’ordre de l’inexplicable, leur photo m’a inspiré et au téléphone, ils sont sympas et marrants. Et ça, ce n’est pas rien !
Alors, écoutez THE WASH (un nom vachement bien trouvé, qui plus est !), c’est mon programme électoral du jour, garanti sans mensonge, pure qualité et sans compromis.
Jérôme « subjectif mais convaincant » V.