Où l’on interviewe par téléphone un musicien doué et sympathique pour un très joli album…
Car, tout simplement j’avais eu un coup de cœur immédiat pour son album « 88 », je peux interviewer Guillaume Poncelet, un vrai de chez vrai musicien qui connaît la musique de A à Z, des aigus aux graves et de fond en comble.
88 bien entendu, comme le nombre de touches d’un piano…
L’album, déjà existant mais totalement relancé en ce moment, distribué par Believe, est composé de 15 pistes instrumentales où règne le piano plus 1 chanson avec un texte magnifique, on y revient tout de suite.
Si vous aimez… Poppy Ackroyd, Nils Frahm, Olafur Arnalds où même Gonzalès, vous aimerez les morceaux que Guillaume Poncelet compose et interprète avec finesse et douceur. De temps en temps, il est doux de s’autoriser des rêveries et des temps de mélancolie douce, ce disque le permet sans difficulté…
On gamberge vers de possibles B.O. de beaux films, ce que l’on dit toujours de pistes qui sont à la fois descriptives et laissent libre cours à votre imagination. Ravel, Fauré ou Saint-Saëns font partie des maîtres qui l’ont inspiré…
Vous serez sans doute aussi frappé par la beauté du texte de Gustave Poncelet (son père), dit/parlé par l’écrivain, auteur-compositeur- interprète et chanteur Gael Faye : « Mon Terroir ». Notre musicien poly-instrumental, riche de multiples collaborations et multi-talents travaille avec ce dernier pour un album et une tournée à venir. Cependant il se consacre de fait aussi à mettre en avant son opus et sera le 13 février au 104 pour le défendre, accompagné d’invités (pression, me précise-t-il !).
Un homme riche d’un vrai talent que nous suivrons et vous recommandons de suivre…
Jérôme « j’aime pas que le punk » V.
PS : grand bravo aussi pour ses sessions au Studio Davout, et ses précisions sur son travail, voir ici