Dans une jolie salle de réunion, chez Sony Musique, Paris.
Les 3 acolytes de Dizzy Mizz Lizzy sont souriants et disponibles et nous parlons de façon détendue de leurs projets et leur carrière.
Car oui, ce groupe a ceci de très particulier qu’il a existé, s’est séparé, s’est reformé et est re-activated depuis 2014. Succès énorme chez eux au Danemark dans les 90’s comme au Japon (oui, oui !) par exemple. Ils m’expliquent que le rock critic Masa Ito y a grandement contribué. Ainsi est leur destin.
Et leur album (3 ème en studio) le plus récent Forward In Reverse ne devrait pas connaître l’échec là-bas non plus et reçoit de belles critiques un peu partout. Leur musique « power metal rock » est efficace et pleine d’énergie, est plaisante et électrique.
Autre caractéristique unique de ce groupe : une « mascotte », la photo d’une petite fille de 1920 qu’ils déclinent en visuel de façon multicolore.
Sachez aussi que leur nom « made in Beatles » n’est pas anodin et qu’ils ont enregistré leur deuxième album dans le mythique studio d’Abbey Road (où les technologies analogiques et numériques coexistent et où l’espace est bon et beau).
Techniques, ils ont même fait développer une pédale d’effet pour guitares à leur patte, chez le fabricant Carl Martin en édition limitée : la Dizzy Drive ! Et une pédale pour basses à leur manière est en préparation.
Maintenant, après avoir beaucoup tourné, ils pensent à de futurs morceaux, mais passeront en live par notre pays d’ici quelques mois.
Voici un groupe à suivre et des garçons avec la tête sur les épaules et un sourire engageant, un talent réel comme une modestie qui les honore.
Chapeau les danois !
Jérôme « helter skelter » V.