Il nous faut remercier ici Nicolas F. qui a centrifugé vers mes oreilles votre album : Rising // la fin de la tristesse, publié sous la signature de Blaubird, votre projet musical personnel trip-hop lyrique.

Blaubird

Dans le flot incessant des nouveautés qui se lance contre les digues de nos lignes éditoriales, la vague qui vous porte a submergé la jetée et m’a éclaboussé. Tout trempé, j’ai dit waouw, voilà qui est frais et puissant. Et voilà, Word est ouvert , mes index sont au travail sur l’azerty ;

Je l’ai beaucoup aimé, je vais illico m’efforcer de rédiger un post et le partager.

Nos quelques lecteurs vont se demander tout d’abord… de quoi s’agit-il ?

Paresseux, je les renvoie directement sur votre blog, où vous compilez des critiques fort bien rédigées (et justement) laudatives à ce sujet ! Il faut cliquer ici. Mes collègues ont du talent. Bis repetita placent.

Je tiens à leur signaler que vous avez d’autres cordes à votre arc : formation classique de haut niveau, chanteuse lyrique dans de nombreuses dimensions et créations, des rôles d’opéra, concert-lecture, poète, dessinatrice, conceptrice de spectacles … je me demande quelle muse vous aurait oubliée ? Aucune sans doute.

Le rôle du rock-critic est de donner envie, de transmettre : j’espère que cela sera le cas. Si je n’arrivais même à convaincre qu’un seul lecteur, un seul nouvel admirateur de ce magnifique opus, ma journée aura été bien remplie.

La liberté (souvent inutilisée) du rock-critic est de partir en vrille, d’écrire des bêtises ou de déraper dans les mots, de trouver un angle bizarre ou une construction atypique des quelques 2000 signes remplissant une chronique.

Dans ce cas précis, je tourne en rond car seule me vient la reconnaissance pour l’écoute des magnifiques chansons, de la voix superbe et des arrangements émouvants.

Alors, terminons là, répétons à tout internaute égaré sur nos pages qu’il est urgent d’écouter le disque suivant :

Blaubird, Rising // la fin de la tristesse

Je me permets de vous adresser une pensée amicale et respectueuse,

Jérôme « pas encore @ Victor Hugo level » V .

 

 

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