Notre rédacteur en chef quinqua, chéri, tyrannique et déconfiné m’a assigné la rubrique Rock et Sport (tapez « George Best » dans le puissant moteur de recherche de ce blog et vous verrez)
Ma paresse toujours légendaire a laissé en friche cette rubrique.
En ces temps de Roland Garros, un podcast (Podcourt : le top 50 du tennis) imaginé par l’équipe belgo-française de la superbe revue « Courts » la remet au goût du jour.
L’occasion de parler du tennisman le plus rock du circuit d’hier d’aujourd’hui et de demain Vitas Gerulaitis. Le champion new-yorkais vainqueur d’un tournoi du Grand Chelem (Australie 1978), guitariste, play-boy, cocaïnomane, collectionneur de Lamborghini et proche de Mick Jagger et Andy Warhol cochait toutes les cases.
Il était le chef de la bande Borg, Mc Enroe, Vilas et Noah lors des nuits de l’US Open et du Masters au Studio 54.
Le flamboyant Vitas résume ainsi ces années 77-84 « Nous sommes rivaux sur le court, mais amis dans la vie et bourrés le reste du temps ».
Vytautas dit Vitas n’a pas vieilli. Il est mort à 40 ans en 1994.
Déconfit Pato C