The Stranglers
Cet article est le numéro 5 sur 9 du dossier Les Stranglers à la Clef

Devant une œuvre aussi riche, il serait ridicule de tout lister car on n’est pas des Wikis, comme de tout plaquer… on n’est pas des Kiwis. Voici une liste très incomplète mais 100 % pur bonheur pour découvrir ou aborder l’œuvre considérable des Stranglers. Nous omettrons les nombreux « live » capturant la force de leurs prestations scéniques. Ce soir, vous en aurez un aperçu, alors…

Découverte et période 1977 à 1979. Quatre albums pleins de rage, de beauté noire et d’une énergie créative insensée. Je me permets de vous suggérer de les apprendre par cœur, rien de moins. Ce sont :

the RAVEN les StranglersRattus Norvegicus, No more Heroes, Black and White et The Raven.

J’ai un petit faible pour le très très bizarre The Gospel According To The Meninblack, mais il faut aimer le frisson, l’humour grinçant, les Envahisseurs et le décalé.

La Folie contient la chanson du même titre, un incontournable chef-d’œuvre … mais à qui tout dire, à qui tout raconter ? Feline, encore une « masterpiece », tout dans le subtil, le velours sombre et la finesse. Ce disque, 666 bougies et un repas de fête si vous voulez séduire une âme maudite mais dans un jour de grâce.

Aural Sculpture et Dreamtime sont plus pop, plus faciles, mais les lyrics restent brillants et le son magnifique. On passa du noir au doré et la notoriété devint plus large. Always the Sun !rattus norvegicus - Les Stranglers

Je les ai un peu perdus ensuite, vous savez qu’ils ont connu des soucis, ont résisté à tout et bien sûr au départ de l’historique,
irascible et doué, le premier chanteur fondateur : Mr. Hugh Cornwell. Leur niveau est redevenu excellentissime, thanks Mister Baz.

Les plus récents, recommandés : Norfolk Coast et Giants.

Ecoutez, étonnez-vous : leur discographie est une malle aux trésors à triple fond. Elle vaut la peine d’être fouillée de fond en comble !

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