The Big Moon : 4 filles qui ont commis un très joli album, Love in 4th Dimension. Sorti il y a plus d’un mois, le 7 avril et qui tient la route, ce disque mérite d’être passé et repassé, car chaque écoute est meilleure que la précédente.
Rock au bon son, puissant et bien accrocheur au niveau des mélodies, l’ensemble dégage un « je ne sais quoi » de séduction avérée et de… de charme qui opère vite.
Le rock critic n’est pas obligé de tout expliquer et justifier, mais à tout le moins a pour devoir de donner une vision claire à qui lira son papier.
Parenthèse.
Je vous avoue que je déteste ces articles qui sont flous et brumeux, à la fin desquels un lecteur se gratte la tête en se disant : « non mais, c’est bien ou pas ce truc ? ». Aaah, ces magazines de papier glacé avec des pubs pour des banques en ligne et des berlines allemandes !
NB : Déjà, sur Songazine, il y a 99% de chances que l’auteur des lignes publiées vous donne envie d’écouter ce dont il parle.
Fin de la parenthèse.
Mais encore ? Pourquoi écouter The Big Moon, à part cette punchline de 164 caractères, plus haut déclinée et limite magazine papier glacé avec des pubs de BMW : Rock au bon son, puissant et bien accrocheur au niveau des mélodies, l’ensemble dégage un « je ne sais quoi » de séduction avérée et de… de charme qui opère vite. ?
Et aussi, hmmm ?, insisterait votre psy, qui ne se contente pas d’une punchline en 164 caractères pour que vous crachiez le morceau ! Ben, Docteur, si vous voulez tout savoir… parce que c’est punchy, ça donne le sourire, c’est joli, un peu coquin sur les bords, qu’on retient les refrains, que les nanas ont du cran, que la voix de la chanteuse un peu grave est super sexy ! Ah voilà, voilà. La vérité finit par sortir, Môssieur le rock critic. On vous parle de rock and roll quand même, pas d’une sculpture abstraite.
Et puis vous, le lecteur de Songazine, ne vous grattez pas la tête, c’est vachement bien The Big Moon !
Jérôme «in the 4th dimension » V.