2022 sonnera en mode radieux, creux, curieux, besogneux ou plein les yeux ?

Ne faisons aucun pari risqué, désormais tout horizon trop lointain s’avère factice ! Et puis Songazine n’a pas vocation à vous emm**** comme dirait le futur Ex !

Qu’avons-nous dans notre besace et de qui souhaitons-nous vous chanter quelque louange ? Attention ! cette chronique légère comprend des jeux de mots voire des contrepèteries.

  • Bonne année, grand-mère 

Let’s Eat Grandma nous la souhaitent OK la twenty-twenty-two en jouant au tennis en pension. Pendant ce temps, Djokovic est sans filet, sans visa et sans tournoi à Melbourne. ATP a tapé.

  • 380 volts

Un premier coup de cœur pour un album qui sort le 4 février, précédé par un single ?

C’est signé Temenik Electric, album Little Hammam, single Manich Maleik (Nomad Café). Rock oriental, fusion dansante et enivrante : on prend ! On vote pour le cœur, l’ouverture d’esprit et les cultures du monde dans ce webzine.

La pire dune s’engouffre dans la rue du quai ?

On vous en dira plus très bientôt.

  • 35, lucky number

Rien que par le nom de leur groupe, voici leur pass’ automatique pour que les rock critics ouvrent le mail et sourient : Il est Vilaine, palme à vie de la trouvaille patronymique. Et là, un album « Les Mystères de Lorient Remixes » qui frétille de rythmiques bien entraînantes -il y a même Rubin Steiner Qui suis-je pour donner des bons points ? Hé bien là, c’est distribution tous azimuts de vignettes quand ose des titres comme Bar à Gwin et Phare Ouest.

Ma cote d’Armor pour eux est au maximum.

  • Barrée au port

Respect total et admiration aussi pour Cate Le Bon. Album Pompeii le 4 février, des singles déjà écoutés (Rrunning Away, Moderation). Cette artiste (autrice-compositrice- interprète) va loin dans l’originalité sonore et visuelle.

De belles chansons, un peu hypnotiques et une démarche plus que décalée mais esthétique. Je veux dire par là que ceusses qui pensent faire du bizarre sont souvent assez casse-noisettes. A force de sortir du conventionnel, beaucoup nous le brisent menu ; Cate le Bon a du talent, de mon point de vue, c’est ce qui rend sa démarche à la fois créative et plaisante. Estime instinctive positive…

A suivre aussi, pour une chronique de l’album complet (faudra trouver un angle original mon ami !).

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Anguilles sous roche

EELS revient et nous envoie des riffs. NB : On ne dira pas donc, qu’EELS est vilaine. Alors, je cite (vous remarquerez que si je copie colle des extraits du dossier de presse je le dis, moi !)

« Amateur Hour est le titre d’ouverture de leur nouvel album Extreme Witchcraft disponible le 28 janvier via E Works/[PIAS]. Un titre blues rock et feel-good dans la plus pure tradition des grands classiques de EELS, porté une ligne de guitare distordue et par un refrain aux airs de Californie totalement addictif ! Le leader de EELS, Mark Oliver Everett (alias E) a coproduit l’album Extreme Witchcraft avec le producteur et guitariste de PJ Harvey, John Parish

  • Expo, faut tôt y aller !

Jusqu’au 2 mars prochain, vous devez prendre le temps d’aller boire un verre ou voir un concert de Jazz/ Blues à l’Hôtel Méridien, Paris, Porte Maillot. Le célèbre et mythique Jazz Club Etoile accueille MUSIC REVOLUTION, les Sixties à Paris par Roger Kasparian.

Cette photo y figure. Oh la la, les Stones abordables, vivants et au complet dans un aéroport non agressif, ni saturé de contrôles, en 1964 mais la nostalgie m’étreint !

Jérôme « pas un rameau nu dans le cœur » V.

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