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Hier soir, c’était la soirée Happy Friday du Printemps de Bourges. Un pass unique pour voir toute la soirée une douzaine d’artistes dans deux salles (le W et le Palais d’Auron) : Electric Guests, Calypso Rose, Broken Back, Talisco, Wax Taylor, Alltta, Faker, Møme, Deluxe, Panda Dub, Feder.
Ca s’annonçait fou.
Retours sur mes chouchous :
Calypso Rose
Hier soir, le palais d’Auron a trouvé sa reine. Calypso Rose a illuminé son public avec sa musique vitaminée et pleine de soleil.
Même si elle était loin de son pays natal Trinidad, la doyenne du Printemps de Bourges a su nous y transporter et nous a fait danser comme jamais.
Le Palais d’Auron a vibré sous les rythmes endiablés de la Queen du calypso.
Bonheur, chaleur et douceur des Caraïbes.
Wax Taylor
Wax Tailor est un monument. Depuis une douzaine d’années, celui qui joue partout dans le monde, multiplie les collaborations (Tricky, Ghostface Killah, Charlotte Savary…), au plus grand plaisir de son public. Ces shows sont grandioses. Électriques et symphoniques, racontant à chaque fois une histoire intemporelle, invitant au rêve et à l’invention. Ici et là des beats hip-hop, rap et rétro. Pour partir à l’aventure.
Alors, partants ?
Fakear
Dernier appel pour une destination lointaine ! On s’envole pour la poésie, le rêve et le bien-être. On va côtoyer les émotions, limpides souvent, mais aussi animales, primates. Rencontrer les sensations.
Fakear nous propulse dans un sublime voyage, au plus lointain, avec une électro sensible, une house contemplative, mêlant pads – aux sons de matériaux ou d’extraits glanés sur le net -, saxophones, claviers et harpe. De l’électro, un peu de pop d’Afrique ou d’Asie et du dubstep, voilà une belle rencontre symphonique.
Son live était grandiose, parfaitement maîtrisé, impressionnant. Même si l’atterrissage s’est fait en douceur, le jetlag reste dur à assimiler. On voudrait déjà y retourner !
Deluxe
Dans le noir, l’intro se fait entendre. O fortuna, cette musique médiévale sombre, hyper profonde et spirituelle que tout le monde connaît… Qui met tout de suite dans une ambiance majestueuse, immense et qui annonce très souvent du très très lourd. Ca commence tout doucement et on sent que ça monte crescendo, la lumière aussi. Tout doucement…
Et puis, ça explose. Ca saute. Ca chante. ça crie et surtout ça danse. Voilà l’ambiance hier soir au W. Survoltée. Par des piles électriques. Des fous furieux !
Dix ans qu’ils tournent, dix ans qu’ils exposent leur moustache et surtout qu’ils embrasent le public avec une musique énergisante, mélange du funk survitaminé, d’électro fiévreuse, de hip hop bondissant et de hymnes à brailler en suant les bras levés.
Deluxe a tout donné et a tout pété ! Effectivement, le live a dû s’arrêter suite à un problème technique… Alors nous on en veut encore !
Anne-Laure