En janvier, c’est Infiné !
Article #4
Interview téléphonique de l’artiste répondant au nom de Gordon, encore quelqu’un qui est digne d’intérêt et nous poursuivons notre mois de janvier consacré au précieux label, dont il est l’un des noms (qui montent).
Chez Songazine nous ne sommes pas de bêtes suiveurs mais savons noter des indices positifs qui font chaud au cœur pour reconnaître certains talents.
Des exemples ?
Le très fin et ô combien reconnu Tsugi l’a listé dans ses révélations 2017 et en parle avec ferveur.
Le site US Xlr8r.com le suit et ne tarit pas d’éloges sur son troisième EP, Dystopia.
Et il sera bien présent en live cette année pour continuer à nous prouver le bien-fondé de ces louanges, comme par exemple aux 7 ans de la Machine du Moulin Rouge qui lui tiennent à cœur, lieu où il fut un temps très présent, comme à la Réunion le 25 février (avec les amis Rone et Arandel entre autres), sans oublier le 17 mars pour les 10 ans d’Infiné.
Homme libre : il apprécie l’indépendance donnée par le fait d’avoir un job à côté de la musique (qui elle dévore le temps libre, isn’t it ?). Et son évolution le pousse à attaquer la partition par la face nord des machines analogiques en plus des edit et cut logiciels. Voyez son nouveau Korg !
Un graphisme impeccable pour ses pochettes, dont Almeeva est l’auteur.
Côté musique sur le dernier EP ? Plus sombre, me dit-il, c’est ce qui est reconnu par tous et on approuve. Coup de cœur en particulier pour le morceau intitulé justement Dystopia, fort inspirant pour un texte de fiction par exemple !
Homme de réseau au sens positif, il a bénéficié des fameux Workshops Infiné où de belles idées ont pu germer et il remixe/ est remixé par Vessels.
Loin de Paris, où il réside, il peut nous préparer un futur brillant tout en évoquant un avenir sombre. Gordon est à découvrir, ne tardez pas !
Jérôme « tempus fugit » V.
(Cadeau ici son concert à l’ARTE Concert Festival )