C’est par un hasard fortuit que je tombe sur votre site et me penche sur votre contenu éditorial.

Je trouve cela assez curieux et m’interroge avec force sur vos motivations, ainsi que votre moralité. Pourquoi écrivez-vous ces articles au sujet de ces baladins insouciants et saltimbanques inconnus (voire… étrangers !!) ?

Je vous avoue être surpris car je n’en connais aucun, malgré ma parfaite connaissance des vedettes de la chanson les plus remarquables et acclamés.

Ainsi, ce  jeune britannique, Ian Curtis que vous évoquez fréquemment me semble être un garçon troublé, j’ai traduit certaines paroles chantées par lui et à votre place j’appellerai ses parents afin qu’ils s’occupent de son cas.

Et votre Monsieur Lydon (prénom John), quant à lui devrait surveiller son vocabulaire.

Je n’en dirais pas plus sur ce Wampas Didier toujours furieux et ce collectif de sauvageons que vous louez avec hardiesse, les « Bérurier Noir ». L’abolition du service militaire fut une belle catastrophe, croyez-moi….

Enfin, qu’est-ce donc que ce robot ménager coloré que vous nommez TR-808 ? J’imagine qu’il s’agit d’un ustensile de cuisine pour concocter quelque produit stupéfiant !

Car oui, sachez que personne n’est dupe : vous devez vous adonner à des plaisirs coupables à base de substances chimiques prohibées ; de nous jours dans le music-hall il n’y a plus que ça, sans compter les invertis qui y pullulent.

Peut être infléchirez vous votre ligne éditoriale et mettrez enfin en valeur les talents reconnus  et entraînants de notre belle contrée ?

Veuillez agréer, Monsieur le directeur…

Marcel C., retraité ( 33620, Montridon sous Jougnacq)

PS : je vous cède bien volontiers et pour une somme modique ma collection in extenso de 78 tours de Fréhel et Maurice Chevalier, y compris une édition rare de « Maréchal nous voilà », un enregistrement en concert du 7 novembre 1943.

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