Pour faire la chronique de cet album, je vais être partial. Non, rassurez-vous, je ne vais pas sortir le vitriol comme chez Gonzai (que j’aime beaucoup ceci dit, car eux peuvent le faire avec une certaine classe et on rit un peu jaune, mais on rit).
Je vais juste préciser que je n’aime pas toutes les chansons mais certaines beaucoup plus que d’autres. Et j’ai écouté le CD avec ma chère et tendre, qui a bon goût, est 100% d’accord avec moi, de facto je peux écrire avec assurance.
Alors voilà : sur les 10 chansons de l’album, 5 sont mon choix personnel, subjectif et spécifique.
Préférence notoire pour la toute première « I am ready » qui ouvre le bal avec un roulement de caisse claire qui claque dans l’air et rythme la chanson avec force. Puissant.
La deuxième « I wanna be your man » est forte, on s’y attache dès la deuxième écoute.
Number 3: « Better With You” est imparable, les synthés vintage sonnent beau et génèrent un brin de nostalgie.
Forward vers la sept : « Luxurious » où la voix de Sarah Blasko donne tout son registre sensuel et évocateur.
Et la dernière (10) : « Without » emplie de romantisme et de hauteur de sentiments.
Je me souviens d’un temps où l’on enregistrait des cassettes audio pour les amis. Ce serait donc ces 5-là que j’aurais mises sur la face A d’une C-60 en disant « c’est super, Sarah Blasko, je t’ai fait un best of de son dernier album et sur l’autre face j’ai enregistré FIP après minuit ».
Et puis quelqu’un qui reprend aussi étrangement et mélancoliquement « life on Mars » de Bowie mérite nos compliments.
Jérôme « enreg. » V.