Rewind du jour 2, à l’envers.
Une deuxième journée forte qui se conclut sur les sets magiques de Sigur Ros et Massive Attack, zébrant la nuit d’éclairages extraordinaires. Oniriques et façon feu d’artifice comme un rêve nordique halluciné pour les premiers, pleins de messages forts, de textes puissants, de 0 et de 1 pour les seconds.
Massive Attack avec Horace Andy, Tricky en surprise et d’autres vocalistes plein d’âme nous ont ensorcelés car ils sont grands. Respect et admiration. Nous sommes tous dans le même bateau s’inscrit en lettres géantes sur nos rétines dilatées.
Auparavant, le concert de la Femme fut bien remuant, mais l’excès de basses a distrait le spectateur que je suis.
Et encore avant ?
Ecouté de facto les Casseurs Flowters, en faisant le « jump » de 6 mètres d’une plateforme vers un gros matelas, donc capté une ambiance brûlante, de loin. Un aveu : réception en bas comme un gros ampli Marshall qui tombe d’un camion ! C’était après ? Wolfmother qui avait sorti la guitare à deux manches et le revival 70’s, avec une voix très … zeppeline.
Mais c’est peu, cher Monsieur, qu’avez-vous fait, à part vous hydrater ?
Conférence de presse de la Femme. Marrant, nuée de journalistes, caméra de M6, ils ne sont pas 100% décontractés, l’humour est crispé, la sortie imminente de leur nouvel album leur met la pression. On les aime quand même !
Rencontre rapide avec les Kaviar Spécial, eux très relax, et on vous rappelle qu’ils font partie de nos chouchous. Lire ici. On reparlera sûrement d’eux bientôt.
Rencontre sympathique avec les Psychotic Monks et leur manager. De jeunes parisiens qui brûlent de la flamme de l’enthousiasme et de la passion. Leur EP mérite aussi une prochaine chronique. Lire déjà à ce sujet un joli papier de nos collègues d’Indie Music. Prometteur.
That’s all folks. Au matin du troisième jour, fatigué et toujours heureux, je vous embrasse et pense déjà à Iggy Pop.
Jérôme « accrédité et motivé » V.