5 janvier 2018, enfin nous y sommes. Plusieurs mois que nous avons prévu cette soirée : ce fut chaud et beau.
Trois groupes, trois styles différents mais un point commun : l’envie d’en découdre ce soir. Pour eux, cette soirée compte et ils vont jouer avec cœur au Supersonic !
The Mirrors ouvrent le compteur électrique : Sarah guitare-voix et Corentin à la batterie, dans la lignée des 2-men bands mixtes et pêchus. Vraiment bien en place, de belles chansons et une énergie réelle. Avec eux, le danger vient d’Angers (facile !). La barre est placée haut, d’entrée.
The Old Man’s Wisdom enchaînent en force : le pachyderme barrit et les bûches pleuvent. Gros son et force sonique en live, ça décoiffe, les vitres de la rue Biscornet tremblent. Pogo final et public chaud. Pour une release party (leur bel album Trample the Past est chroniqué ici), c’est un franc succès.
Where The Pavement Ends clôturent en majesté : avec leurs magnifiques morceaux qui vous emmènent loin, entre doom, psychédélisme et mélodies ultra travaillées, ces musiciens gardent le public sous le charme. Conclusion de haute facture !
Le Supersonic est plein comme un œuf, l’ambiance est amicale et joyeuse. Le public est resté dense toute la soirée et acclame les 3 groupes de suite…
Cette salle est un petit bijou car le son y est excellent, l’entrée gratuite, la bière est bonne et ses équipes sont vraiment professionnelles. A deux pas de la Bastille, qui plus est, une situation idéale : amis parisiens ne manquez pas de vous y rendre souvent.
L’équipe Songazine est fière de cette soirée et 2018 s’annonce bien, on remettra le couvert, c’est certain !
Jérôme « the old pavement‘s wisdom in the mirror“ V.