Je ne résiste pas à l’envie de partager avec vous ce remix de la chanson Eisbär, du groupe Grauzone (featuring le brillant Stefan Eicher tout jeune et son frère Martin).
Merci Mondowski pour cette version dépouillée et bien glaciale, pour danser au centre d’un igloo, un énorme cocktail « White Russian » à la main. On danserait, tout seul, le volume à fond et quand on sortirait de là, à l’aube blême, du givre sur la barbe, les bouteilles vidées et les yeux rouges… tous les ours et les renards et les phoques et même un narval dont le rostre sortirait sous vos pieds à travers la glace, bref tous les animaux vous regarderaient d’un air doux et diraient : « Encore ! »
Alors, on écouterait avec eux une fois de plus ce titre, on mettrait le volume plus fort encore si cela est possible, et on ferait une chenille géante sur la banquise, les ours devant, les renards ensuite et les phoques un peu à la traîne, le narval qui bondit hors de l’eau à droite et à gauche, et même des baleines qui se joignent à la fête. Et l’aurore boréale qui nous salue éclate de joie, la vie est folle.
Et on chante, tous en chœur :
Eisbär – Eisbär
kaltes Eis
kaltes Eis.
Eisbär – Eisbär – oh
Eisbär.
Ich möchte ein Eisbär sein im kalten Polar
dann müßte ich nicht mehr schrei’n
alles wär’ so klar.
Ich möchte ein Eisbär sein im kalten Polar
dann müßte ich nicht mehr schrei’n
alles wär’ so klar.
Ich möchte ein Eisbär sein im kalten Polar
dann müßte ich nicht mehr schrei’n
alles wär’ so klar.
Ich möchte ein Eisbär sein im kalten Polar
dann müßte ich nicht mehr schrei’n
alles wär’ so klar.
Eisbär’n müssen nie weinen
Eisbär’n müssen nie weinen
Eisbär’n müssen nie weinen
Eisbär’n müssen nie weinen.
Jérôme « I love bears « V.