De la douceur nom d’une pipe en bois!! Oais on en veut !! Qui en veut ?? Toi là-bas ? Et toi ! Oui toi qui lit ces lignes tu en veux de la douceur ?? Un truc parfait pour tes oreilles, tu l’écoutes tu te crois aux Antilles, à siroter un cocktail en écoutant le clapotis des vagues ,alors que tu es dans ton canapé !
Et vous autres vous en voulez de la douceur ? de la bonne soupline avec le nounours sur l’emballage? du frisson, du huuuuuum c’est bon ! en bouteille ??? en sachet ?

J’ai !


En plus sans faire de mauvais jeu de mots, c’est pas le genre de la maison, Sarah Amiel est destinée à faire dans la douceur, le miel c’est doux
Après cette introduction un peu trop théâtrale et pourtant nécessaire pour capter votre attention nous allons pouvoir développer .

Sarah Amiel donc, prépare son 1 er  album pour mars 2024 « Par le hublot » et nous emmène à la plage avec sa copine Orianne Lacaille en featuring discret, échappée l’espace d’un instant de son Bonbon Vaudou, pour nous présenter le clip de son single « J’voudrais qu’tu veux » clip sur une plage désertée, sans Brigitte Bardot, ni coquillages ni crustacés ,tant mieux ya de la place pour s’exprimer et ramener un violoncelle qui pèse une tonne.
Alors ?? Musicalement ??  « J’voudrais qu’tu veux » (Avec Oriane Lacaille)  c’est comment ?

C’est beau, léger, sincèrement ça fait un bien fou, c’est doux, la voix est parfaite, ça coule tout seul, et l’orchestration chaloupée rappelle Gainsbourg avec Couleur Café, il y a les Antilles, l’Afrique de l’ouest dedans, et une paisible sensation bienveillante.

C’est un peu comme si Jane Birkin chantait sans son  précieux accent du Henri Salvador, c’est métissé dans l’orchestration, simple et efficace.

Le sujet en lui-même, l’indécision ? Je t’aime moi non plus ? Peut-être bien ! On trancherait plutôt vers les rendez vous manqués, les petites ou moyennes attentions qu’on aimerait que l’autre prenne en considération, l’amour ordinaire, les chamailleries.


Un ami me glisse à l’oreille que c’est du pop/jazz, j’écris quand même ça, quitte à déchainer les foules, pire que le débat chocolatine ou pain au chocolat.
Alors oui une certaine impatience nous guette ainsi qu’une vision du printemps 2024, qui verra des jours meilleurs que cet automne malfaisant, alors même si le dérèglement climatique aura raison de nous, vivement le printemps !

Tous les liens pour la suivre:
https://linktr.ee/sarahamiel

@pyofficiel

 



 

 

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