Rencontre agréable, de fin de matinée, des deux et pas un de plus, de Carré Court, Julie et Émilien.
Qu’apprenons-nous sur ce groupe frais et au son soooo sixties lors d’un entretien parisien ?
Qu’ils sont de la bonne ville de Limoges et démarrent leur carrière de musiciens, même s’ils comptent déjà cinquante concerts au compteur en deux ans.
Que ce fameux son « vintage », ou 60’s, c’est la musique qu’ils aiment profondément et que depuis le collège ils se connaissent.
Que la nom (bien trouvé) de Carré Court fut inspiré d’une pochette de Nouvelle Vague (référence porte bonheur, alors?)
Que les paroles et le chant en anglais sont le choix number one de Julie.
Que leur album à venir sera maturé et soigné, aucun filler n’y sera trouvé.
Que oui, ils savent qui sont Jo Wedin et Jean Felzine.
Qu’ils n’ont pas encore de tourneur mais qu’ils sont toujours ok pour venir jouer partout et en première partie d’autres groupes.
Qu’ils se produisent sur scène en duo et basta, actionnant les instruments rythmiques eux-mêmes ( 100 % live, 0% électronique, garantis sans MPC).
Que leur EP « N°1 » ressort le 14 avril et que c’est bien de la bonne musique soul sixties avec du cœur.
Qu’une track bonus « surprise » nous y attend.
Et qu’ils sont sympathiques, modestes, déterminés et souriants…
Songazine vous le dit, voilà une petite coupe capillaire à ne pas lâcher du coin de l’œil.
Glamour, élégance et petite touche de charme : voilà un cocktail qui pourrait éclairer votre printemps.
Revenons à l’époque de la croissance à deux chiffres, des DS et du Général, au moins la nostalgie ne fait de mal à personne et quand elle est bien interprétée, on se sent heureux…
Jérôme « Clyde Barrow » V.