And again the spring came back. The winter cold winds seemed so far away…
La réussite pop rock, la pépite qui fait du bien c’est, roulement de tambour… Anteros !
Avant-première pour vous, chers lecteurs. Non, ne nous remerciez pas, c’est un plaisir. <3
Ça sort le 22 mars, pile poil pour le printemps, c’est un signe qui ne trompe pas.
Voici donc une chronique de disque sans recul, sans considération futée, en absence de point de vue distancié. Cela ne veut pas dire qu’on aura abandonné tout sens critique pour se livrer à une adoration béate, attention !
C’est le coup de cœur, simple comme un bouquet de jonquilles, un plat de spaghettis carbonara quand on a faim, un verre de champagne frais en début de soirée, un arc-en-ciel double après un orage dans le ciel devant votre fenêtre.
J’aime l’énergie, la fraîcheur et la texture multicolore de ces chansons. Alors, pour parler vrai, la chanteuse est jolie, elle est entourée de trois faces d’ange et dans le jeu de séduction du rock and roll c’est un carré d’as gagnant. Les jaloux peuvent se rhabiller car ici le fond et la forme sont séduisants.
C’est évident saute à ma conscience : on fredonne les refrains après deux écoutes, on se voit en concert avec la foule qui reprend les paroles, les Anteros ont ce qui s’appelle du talent, cette étincelle invisible qui transforme des sons en … chansons.
Un aveu du rédac’ chef dont la vieille caboche juke-box baby résonne de références, si vous avez aimé Blondie au début, vous allez adorer ce disque d’Anteros, aka When We Land. Moi j’avais adoré ce style rock punchy-catchy-sexy engageant et chaud comme le diable, appelons un chat un chat (meeeowwww).
Anteros, je l’écris au passage, comme nom cela sonne un peu bizarrement, très mythologique (forcément) mais vous vous habituerez vite. Je vous signale au passage qu’ils sont British et que ce blaze est celui de l’archer doré qui trône tout en haut de la colonne à Piccadilly Circus. They got style, anyway !
C’est leur « début album », tout est bon, ils ont soigné chaque piste, ils sont neufs, pétillants, ils y croient et moi aussi, tout de go.
Je vous l’avais annoncé, ceci n’est pas une chronique compliquée. Il suffit de faire « play », de monter le son et d’être heureux.
Jérôme « drive and shine on » V.