Il y a une semaine, le festival Dream Nation faisait gronder le parc des Expositions de Paris Nord Villepinte. Des centaines de festivaliers ont pu profiter de 2 jours de fête et d’activités en tout genre, et parmi eux, Soraya de Songazine ! Imaginez-vous : deux jours de musique électronique, d’art, de nourriture délicieuse, et d’une ambiance incroyable au cœur de la capitale.
On the road to the Dream Nation 2023
Le voyage commence dès l’entrée dans le métro parisien. On peut déjà se reconnaître entre festivalier, de par notre accoutrement et notre bonne humeur (dans les transports, oui oui !) Ensuite, un convoi se forme le temps d’un court trajet qui mène au festival. On peut déjà entendre la musique vibrer au loin et guider le convoi. On ne peut pas manquer l’entrée : « Dream Nation » brille en grandes lettres lumineuses au-dessus d’un arc d’entrée. C’est comme si l’on pénètre dans un autre monde, un monde où l’art et la fête règnent en maîtres.
Des services de qualité
A l’intérieur, tout est organisé pour que l’on ne manque de rien, en commençant par des centaines de casiers pour pouvoir danser léger. Ensuite, le regard se perd entre les bars, qui s’étendent sur plusieurs mètres, et les stands en tout genre. Vêtements, dessins corporels fluorescents, nourriture (on peut même y goûter des spécialités québécoises comme la poutine !) On comprend alors que le festival Dream Nation ne se limite pas à la musique, il concerne l’art et le bien-être en général. En effet, on peut y trouver des coins hamacs, des tables et des chaises disposées à des coins stratégiques. Les danseurs acharnés peuvent alors se reposer, discuter entre amis, ou contempler les jeux de lumières impressionnants. Des lasers traversaient l’espace jusqu’aux arbres environnants ! Un manège à sensation, et des artistes arborant des costumes fascinants ont ajouté une dimension visuelle unique à l’événement.
Des scènes explosives
Mais bien sûr, le cœur du festival réside dans ses trois grandes scènes ! Chacune représente un style musical qui diffère en fonction des jours. Le vendredi, on peut danser au rythme de la techno, hybrid et hard music. Plutôt bass, ou trance ? Le samedi est là pour faire plaisir. Les artistes qui se sont produits étaient tout aussi variés. On a pu y faire de belles découvertes, comme le groupe Hadone, la « triple menace qui vient de l’est de la France » avec un style qui mélange techno moderne et 90’. On a même eu droit à des remix de classiques comme « Killin’ in the name » de Rage Against the Machine ! Sans manquer les noms très attendus tels que Salut C’est Cool et leur prestation électro-punk humoristique, située entre le kitsch et le génie. On s’est ensuite laissé transporter dans l’espace sur une atmosphère psytrance avec l’alien Graviity, et bien d’autres… Si vous ne l’aviez pas encore compris, Dream Nation est à inscrire absolument sur sa liste de festivals à ne pas manquer !
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Soraya Castagnon
Crédit photo de couverture : Maxime Potin