Malgré la pire année de ma vie, la culture, musique en tête, continue de me passionner et de me faire passer de jolis moments, voire de me sauver la vie en ce 2020 décidément bien pourri.

Monos du Colombien Alejandro Landes ou le plus mainstream 1917 de Sam Mendes sont mes deux meilleurs souvenirs de cinéma avant le premier confinement. J’ai eu l’occasion de voir de très bons concerts au début de l’année, que ce soit Pop Crimes : Hommage à Rowland S.Howard (Maroquinerie), Frustration + Italia 90 (Trianon), Beak> + Vox Low (Machine du Moulin), Legendary Pink Dots + Mellanosoyoc (Petit Bain) ou encore Moor Mother à Petit Bain !

Comme chaque année, j’ai écouté une foultitude de disques. J’ai été ravi par les œuvres de vieux de la vieille tels Wire (deux albums cette même année !), le furieux Napalm Death, le Français Palo Alto, le Belge Aksak Maboul ou l’Australien Mick Harvey.

Un peu déçu par d’autres tels Cabaret Voltaire ou Neubauten, mais un très bon Hackedepicciotto (avec le bassiste guitariste d’Einstürzende Neubauten) et un excellent Human Impact, mêlant des membres de Swans, Unsane et Cop Shoot Cop, excusez du peu !

Pas déçu par les nouveaux Tricky ou Mark Lanegan, ni par le trop méconnu Sieben. Quelques belles découvertes vinyliques tels Shifting It Was Good , Heads Push ou Vincas Phantasma.

Et plein d’autres disques de rock noise bien vénère tels Lane (ex-Thugs), Wax Chattels, Metz ou Idles. Et pour le côté plus électronique worship the glitch/click & cut, l’ami Dither vient de sortir un Souma  de toute beauté… Vivement 2021 et longue vie à Songazine avec une nouvelle rubrique cinéma que j’espère flamboyante ! 

Dans le dossier :2020…. So What ? >>
Share